Les sagas ALIEN / PREDATOR / ROBOCOP / TERMINATOR

Septon a écrit:Bon apparemment ça serait racourci pour la promo...





Ouais ça me fait juste chier par principe que le premier film laisse une quelconque trace dans celui-là.

Pis bon, des Predators qui vérifient même pas si leur pote qui vient de passer 24h dans une pyramide remplie d'Aliens est "infecté"...

Wrath a écrit:Encore un film qui crache à la gueule d'un comics quoi, rien de nouveau sous le soleil.

Wrath a écrit:Si seulement un réalisateur compétent pouvait passer à l'écran Alien, La Ruche Terrestre...

Wrath a écrit:En plus le predator qui tire au plasma dans son vaisseau...crédible quoi. mais bon, sinon ça a l'air potable.

FWP a écrit:Par contre, ça me semble bizarre, à la fin du avp1, ils sont une bonne trentaine à remonter dans le vaisseau, là ils ont l'air d'être 3 et d'avoir une petite soucoupe volante... Alors est-ce vraiment la suite du 1 ? parce que s'ils ont transporté le corps de leur congénère dans un autre vaisseau, le predalien avait déjà transpercé l'estomac du predator ! Il est retourné dans le corps pour refaire une sortie ? Les prédators ont rien vu ? Avec tout ce sang phosphorescent ?

Wrath a écrit:

Si seulement un réalisateur compétent pouvait passer à l'écran Alien, La Ruche Terrestre...





Ca impliquerait un univers parallèle ou Newt et Hicks ne se crashent pas sur Fiorina 161.

Wrath a écrit:Newt et Hicks ne sont pas dans La Ruche Terrestre, ce sont deux autres personnages qui leur ressemblent beaucoup.

Septon a écrit:

Wrath a écrit:Newt et Hicks ne sont pas dans La Ruche Terrestre, ce sont deux autres personnages qui leur ressemblent beaucoup.

Justement parce qu'à la base c'est eux. Ils ont du modifier les noms suite à la sortie d'Alien 3.

Après avoir surexcité les fanboys par la grâce d’un trailer percutant, AVPR se dévoile enfin. Et la douche est glaciale. Ou comment s’acharner sur deux franchises et les flinguer une bonne fois pour toute…



Tout le monde s’accorde à dire que l’AVP de Paul Anderson est mauvais. Y compris, d’ailleurs, les responsables de ce nouvel opus, qui ont clamé haut et fort leurs influences : Aliens et Rambo. De belles promesses loin d’être tenues, puisqu’en fin de compte la vision d’AVPR permet de réévaluer le précédent à la hausse. C’est dire à quel point les frères Strause se sont plantés dans les grandes largeurs de leur scope sous-exploité, pas aidés cela dit par un script affligeant.



L’action démarre direct après la fin d’AVP : un Predalien (autrement dit un Predator avec une queue d’Alien) extermine l’équipage du vaisseau Predator qui s’écrase dans une forêt du Colorado. Tandis que la créature et ses congénères s’attaquent à tous les humains qui croisent leur route (un chasseur, son fils, des clodos…), le signal de détresse de l’épave arrive jusqu’à la planète des Predators et l’un d’entre eux décolle pour aller venger ses frères d’armes. Une fois arrivé sur notre planète, il écorche vif un adjoint du shérif et se lance aux trousses de ses proies.



C’est là ou, logiquement, on est censés nous présenter des personnages auxquels on puisse s’identifier, d’autant que l’idée de placer les événements dans une petite ville ou tout le monde se connaît se prêtait idéalement à ce processus. Et c’est là ou, contre toute attente, on nous offre une galerie bien gratinée, avec un livreur de pizza mal dans sa peau, son grand frère taulard repenti, une pétasse blonde, une pilote d’hélico revenue d’Irak et un shérif aussi nerveux qu’un koala, tous atrocement mal joués par des acteurs de seconde zone et caractérisés par des dialogues assez mémorables (« C’est moi que tu mates ou c’est la pendule ? »). Après avoir subi des scènes improbables dont une ou le Predalien course des étudiants dans une piscine tel une Laure Manaudou vexée qu’on l’ait vue toute nue, on attend avec impatience l’arrivée des militaires : lorsqu’ils déboulent, ils sont huit et se font tous écharper en trente secondes. Voilà pour l’hommage à Aliens. Ne reste plus, donc, qu’à se concentrer sur les affrontements entre le Predator (qui se meut de manière fort élégante, avouons-le) et ses adversaires. Là encore, rien à faire : la photographie se la joue tellement « ténébreuse » qu’on a du mal à distinguer ce qui se passe. Autant dire que lorsque le courant est coupé dans toute la ville, on ne voit plus rien du tout. Rien d’étonnant : le film est éclairé (si on peut dire) par Daniel Pearl (Pathfinder), et comme le découpage est inexistant, l’action n’est que bruyante et illisible, la violence restant quant à elle très timide (soit hors-champ, soit dans le noir), si on excepte l’incubation d’une femme sur le point d’accoucher. Bref, on a beau chercher, il n’y a pas grand chose à sauver, hormis peut-être le score furieux de Brian Tyler, deux ou trois beaux mouvements de caméra et l’idée très film-catastrophe du groupe qui se sépare avec une moitié qui croit que les secours vont arriver et l’autre qui préfère risquer sa peau (on dirait Poseidon, ça doit être pour ça qu’il flotte tout le temps). Mais le final stupide, voire carrément irresponsable (en gros, on y justifie la mise à mort de centaines d’innocents car il faut bien « obéir aux ordres »), achève de faire d’AVPR un produit assez détestable, qui ne respecte ni son potentiel, ni son public. En DTV, on aurait compris, mais là, le foutage de gueule est impardonnable. A croire que les techniciens d’effets spéciaux devraient s’abstenir une bonne fois pour toutes de passer à la réalisation…

DreamSquare a écrit:*vive la carte illimitée* j'y vais demain :pendu:

Fog a écrit:

DreamSquare a écrit:*vive la carte illimitée* j'y vais demain :pendu:

C'est un peu hors sujet, mais, tu peux m'éclairer sur cette fameuse carte?

Conditions pour acquisition, prix... etc