Re: Votre dernier film regardé...

par Mer 2 Jan 2008 - 16:35

~~Septon a écrit:~~
~~Adunakhor a écrit:~~Highlander

Avec Lambert.

Un bon nanar!

1/6

:mrgreen:

Non mais alors toi tu dis vraiment n'importe quoi, tu nages complétement en cinéma.

Le premier Highlander c'est tout sauf un nanar, t'as vraiment de la merde sur les yeux, dans les oreilles et dans la tête. Les suivants ok, mais le premier c'est un grand film qui a marqué les années 80, soutenu par la mythique musique de Queen. Qu'on l'apprécie pas plus que ça ok, mais dire que c'est un nanar c'est juste n'importe quoi.

En tout cas, je me suis bien marré en le mattant.

:-D

par Mer 2 Jan 2008 - 19:30

Highlander premier du nom quand on passe outre les effets spéciaux fait au feutre (des réminiscences de Conan?) c'est un trés bon film.Je suis persuadé que le Kurgan en a marqué plus d'un parmis les membres du forum.

par DreamSquare Mer 2 Jan 2008 - 19:37

~~Ümkharss a écrit:~~Highlander premier du nom quand on passe outre les effets spéciaux fait au feutre (des réminiscences de Conan?) c'est un trés bon film.Je suis persuadé que le Kurgan en a marqué plus d'un parmis les membres du forum.

J'imagine que vous auriez eu une meilleure idée pour les effets spéciaux ? :innocent:

par Jeu 3 Jan 2008 - 10:30

La Croisée des Mondes... Un énorme navet, tout aussi gros que Beowulf... (oui c'est mon pseudo, mais je ne fais certainement pas référence à ce film, seule la légende m'interresse et pas cette adaptation pitoyable qui ne respecte que la moitié du manuscrit).

Pour revenir à ce film;
je n'ai pas lu le livre, mais même sans ça on peut dire qu'il ne vaut absolument pas le coup. Les actions se passent beaucoup trop vite, aucun suspense... Un exemple, l'homme se retrouve dans les montagnes de Svalbard avec son compagnon et dit quelque chose qui ressemble à "nous allons nous faire attaquer"... Et PAF les "méchants" qui démarque. Je pense avoir été la seule à rire dans la salle à ce moment là.

Autre exemple... la gamine qui se met à pleurer en apprenant le "terrible" passé de cet ours... trés, trés crédible. D'ailleurs en parlant de cette fillette j'hésite à dire qu'elle joue mal ou que le doublage est merdique. Les personnages ne sont pas attachant, une intrigue bancale, tout ce qu'il y a de plus banal...

Ah et j'allais oublier... même si c'est dans le livre et que le film l'a respecté... des sorcières sur des balais qui se battent avec des arcs... je veux bien, mais on dirait plutôt qu'elles font grève de la magie. ("Salut on a pas de quoi régénérer nos MP alors on fait ce qu'on peut en se prennant pour des archers volants").

Je ne m'étend pas plus... je pourrais, mais c'est à vous de juger aprés. Mais si vous n'allez pas le voir, vous ne loupé rien du tout. Ou alors, allez-y pour vous marrer un bon coup.

Ceux qui ont lu le livre seront, je pense, trés déçut.

par Jeu 3 Jan 2008 - 11:02

rien qu'avec les extraits je me suis dit: bonjour la grosse merde en technicolor.

n'est pas P.Jackson qui veut!

la mode SDA fait des ravages et je pense que le publique va vite saturer dans ce domaine.

par Septon Jeu 3 Jan 2008 - 16:39

~~DreamSquare a écrit:~~
~~Ümkharss a écrit:~~Highlander premier du nom quand on passe outre les effets spéciaux fait au feutre (des réminiscences de Conan?) c'est un trés bon film.Je suis persuadé que le Kurgan en a marqué plus d'un parmis les membres du forum.

J'imagine que vous auriez eu une meilleure idée pour les effets spéciaux ? :innocent:

Ouais sûr déjà. Pis encore aujourd'hui ça a toujours plus de charme que des CGI foireux.

Au passage je conseil la version longue qui vaut le coup, nottement au début avec les cris des supporters du match de Catch qui rappellent à Macleod la furie de la grande bataille qu'il avait vécu y a 400 ans. De brefs flash-back de la bataille viennent entrecouper cette scène quand il est pensif sur son siège ça le fait pas mal.

par Sam 5 Jan 2008 - 0:59

"SNATCH" un pure moment de délire et de cinéma.

http://artfiles.art.com/images/-/Snatch-Poster-C10068725.jpeg" alt="" />

Synopsis :

Franky vient de voler un énorme diamant qu'il doit livrer à Avi, un mafieux new-yorkais. En chemin, il fait escale à Londres où il se laisse convaincre par Boris de parier sur un combat de boxe clandestin. Il ignore, bien sûr, qu'il s'agit d'un coup monté avec Vinny et Sol, afin de le délester de son magnifique caillou. Turkish et Tommy, eux, ont un problème avec leur boxeur, un gitan complètement fêlé qui refuse de se coucher au quatrième round comme prévu. C'est au tour d'Avi de débarquer, bien décidé à récupérer son bien, avec l'aide de Tony, une légende de la gâchette.

Réalisé par Guy Ritchie

Avec Benicio Del Toro, Dennis Farina, Vinnie Jones Plus...

Film britannique, américain. Genre : Policier, Thriller, Comédie

Durée : 1h 43min.

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un film à voir en vo, Brad Pit est excellent en manouche.

"oké m'tum pé un'cravan poumamair" :mrgreen:

ma note: 6/6

~~http://www.metroactive.com/papers/metro/01.18.01/gifs/snatch-0103.jpg" alt="" />~~

par **Baalberith** Sam 5 Jan 2008 - 20:30

Je déteste ce film, malgré l'excellente performance de Brad...

par Wrath Dim 6 Jan 2008 - 3:30

Alien VS Predator Requiem:

Il y a du bon voir du très bon dans ce film, enfin surtout au niveau des idées, comme le duel incessant entre predator et predalien. Pour le reste...du réchauffés, on pioche dans alien 2 et 3, predator 1 et 2, on mélange, on mixe le tout avec une photographie banale, une bande son inoriginale au possible (certains son proviennent même directement d'Aliens), des acteurs qui font leur possible pour animer leurs personnages caricaturaux de la bonne ville américaine typique.

Alors les bons points, enfin le bon point...: Le Predator ultra-balaise qui explose tout sur son passage. Un predator quoi, un vrai, pas une lopette qui se fait dézinguer au premier facehugger ou alien croisé.

Divertissant mais enfonçant en peut plus les deux meilleurs franchises de l'horreur/SF/Action.

Peut être que les producteurs devraient se rendre compte que la quadrilogie Alien n'a pas été réalisée par des intermitents du spectacle (Scott, Cameron, Fincher, Jeunet), même chose pour le premier Predator (McTiernan).

Donc en gros 2 points pour le predator berserker, 0 pour le reste.

par Septon Dim 6 Jan 2008 - 16:17

(AlienS Vs Predator. ;
) )

Bon, quelqu'un se lance dans le script d'AvP3 avec moi ? :cool:

Merci pour ton avis, ça confirme ce qui se dit sur le net. Par contre je crois que Predator était le premier film de McTiernan et Alien 3 le premier de Fincher, donc c'était aussi un peu des inconnus à l'époque.

par Wrath Dim 6 Jan 2008 - 17:54

Pas faux, mais au moins ils avaient du talent.

par Mer 9 Jan 2008 - 15:17

Douze hommes en colère

Sortie en 1957, avec Henry Fonda

Synopsis:

Un jeune homme d'origine modeste est accusé du meurtre de son père et risque la peine de mort. Le jury composé de douze hommes se retire pour délibérer et procède immédiatement à un vote : onze votent coupable, or la décision doit être prise à l'unanimité. Le juré qui a voté non-coupable, sommé de se justifier, explique qu'il a un doute et que la vie d'un homme mérite quelques heures de discussion. Il s'emploie alors à les convaincre un par un.

Très bon film se déroulant à huit clos dans une salle de délibération, mettant royalement en scène tous les stéréotypes et préjugés qui nous gangrènent tous.

Je fais également un éxposé sur ce film dans le cadre de mon cursus, en cours de psychologie sociale.

5.5/6

par **Nepenthes** Mer 9 Jan 2008 - 15:49

~~Fog a écrit:~~Douze hommes en colère

Sortie en 1957, avec Henry Fonda

Synopsis:

Un jeune homme d'origine modeste est accusé du meurtre de son père et risque la peine de mort. Le jury composé de douze hommes se retire pour délibérer et procède immédiatement à un vote : onze votent coupable, or la décision doit être prise à l'unanimité. Le juré qui a voté non-coupable, sommé de se justifier, explique qu'il a un doute et que la vie d'un homme mérite quelques heures de discussion. Il s'emploie alors à les convaincre un par un.

Très bon film se déroulant à huit clos dans une salle de délibération, mettant royalement en scène tous les stéréotypes et préjugés qui nous gangrènent tous.

Je fais également un éxposé sur ce film dans le cadre de mon cursus, en cours de psychologie sociale.

5.5/6

Je l'ai revu il n'y a pas si longtemps que ça au cinéma (le bonheur des cinémas indépendants parisiens qui repassent des "vieux" films sans arrêt...), et c'est un film vraiment magnifique.

Le 6/6 est pour moi mérité.

par Mer 9 Jan 2008 - 16:09

Hostel 2

Prenez un film gore, retirez lui ses scènes extrêmes, reprenez son scénario en y ajoutant des pseudos explications, rajoutez 2 stars que vous irez chercher dans une série tv à succès, faites un semblant de suspense / retournement de situation bidon genre les gentils deviennent méchants et vis versa, et surtout, n'oubliez pas d'écrire "Quentin Tarantino" dans le générique. Voilà vous avez Hostel 2, une suite qui n'apporte rien.

2/6 parce que ça fait passer le temps et parce qu'il y a de jolies filles et une scène trip Countess Bathory.

par Dim 13 Jan 2008 - 20:52

Autopsie d'un meurtre, d'Otto Preminger.

L'avocat Paul Biegler (James Stewart), qui a raté sa carrière, reçoit un coup de téléphone de Laura Manion lui demandant d'assurer la défense de son mari. Le lieutenant Frederik Manion a tué un propriétaire de bar qui avait violé sa femme. Biegler accepte de le défendre, y voyant le moyen de relancer un peu sa carrière. Le procès commence et la vérité a du mal à émerger, d'ailleurs les avocats et les juges, s'affrontant dans des batailles juridiques, en sont en réalité peu soucieux, d'autant que la personnalité et le fessier de la jeune Laura mettent en cause la réalité du meurtre...

A voir rien que pour les scènes au tribunal, et les rebondissement sans fin.

par DreamSquare Lun 14 Jan 2008 - 19:16

Hostel

Haha la bonne blague.

Bon il est ou le film ? Du gros foutage de gueule, un rattage intégral même pas drôle (putain ce scénario moche ) même pas gore ni violent (de quoi faire flipper une maison de retraite et encore ! Entre ça est le "y a plus de smecta" en gériatrie on se demande ce qui fait le plus peur). Bref la totale : des acteurs de merde, une mise en scène plan-plan...

C'est ça la grande révélation de l'horreur ? Ca annonce la couleur pour l'avenir.

1/6

par Lun 14 Jan 2008 - 19:18

~~DreamSquare a écrit:~~Hostel

Haha la bonne blague.

Bon il est ou le film ? Du gros foutage de gueule, un rattage intégral même pas drôle (putain ce scénario moche ) même pas gore ni violent (de quoi faire flipper une maison de retraite et encore ! Entre ça est le "y a plus de smecta" en gériatrie on se demande ce qui fait le plus peur). Bref la totale : des acteurs de merde, une mise en scène plan-plan...

C'est ça la grande révélation de l'horreur ? Ca annonce la couleur pour l'avenir.

1/6

Et bien je te conseille fortement de ne pas voir le deux, qui est bien bien pire que ce premier...

par DreamSquare Lun 14 Jan 2008 - 19:19

~~Fog a écrit:~~
~~DreamSquare a écrit:~~Hostel

Haha la bonne blague.

Bon il est ou le film ? Du gros foutage de gueule, un rattage intégral même pas drôle (putain ce scénario moche ) même pas gore ni violent (de quoi faire flipper une maison de retraite et encore ! Entre ça est le "y a plus de smecta" en gériatrie on se demande ce qui fait le plus peur). Bref la totale : des acteurs de merde, une mise en scène plan-plan...

C'est ça la grande révélation de l'horreur ? Ca annonce la couleur pour l'avenir.

1/6

Et bien je te conseille fortement de ne pas voir le deux, qui est bien bien pire que ce premier...

Poussé par le vice j'allais pourtant le faire, et ce dès le 24 janvier (sortie location). :mrgreen:

par Lun 14 Jan 2008 - 21:54

Relis ma chronique en haut de page, ça te coupera l'envie. Et puis tu vois, Hostel c'est forcement culte, il y a écrit Tarantino dans le générique

par Wrath Lun 14 Jan 2008 - 21:54

Vu comment le premier sentait du fion, j'étais même étonné de savoir qu'ils en avaient sorti un autre.

par Lun 14 Jan 2008 - 22:20

INTO THE WILD, je suis tenté de dire: 19/20!!!

Magnifique, à voir absolument, film long mais on ne voit pas le temps passer.

Une chronique trouvée sur Ecran Noir:

INTO THE WILD (Ecran noir)

“- Je n’ai pas besoin d’argent, il rend prudent.”

Quête identitaire à la fois réaliste et fantasmée, le quatrième film de Sean Penn est un voyage philosophique qui trace le chemin solitaire d’un coeur à la recherche du vrai bonheur. Tiré d’une histoire authentique, Into the Wild rend compte de ce formidable parcours, celui d’un jeune américain originaire d’Atlanta, qui décide de tout plaquer pour partir vers le Grand Nord. En choisissant de communier avec la nature dans l’exclusive d’une relation sans retour, le personnage principal rompt définitivement avec cette pesanteur d’une société faite de mensonge (son père), de trahison (sa mère) et de souffrance. Destinée fulgurante qui empreinte les voies contraires à celles de la civilisation, ce passage aux affleurements discontinus répond à un besoin vital : confronter son absolu avec la nature sauvage afin d’y trouver la paix.

Cette reconstitution cinématographique est l’occasion de comprendre la force d’engagement d’un artiste en marge d’une industrie qui a toujours assumé ses convictions et ses choix artistiques. Pari risqué car obligatoirement sincère, celui-ci est tenu haut la main. La rencontre qui s’offre à notre regard provient autant d’une histoire (qu’elle soit véridique ou pas) que de celui qui la profère ;
Penn donne ainsi vie à un film magnétique qui vous touche profondément.

En adaptant le livre "Voyage au bout de la solitude" du journaliste américain Jon Krakauer qui s’inspira lui-même des nombreuses notes laissées par Christopher McCandless, Sean Penn répond à une double exigence. Tout d’abord respecter le plus possible les différents évènements qui ont parsemé la route du jeune Christopher – chemins empruntés, escales supposées, gens rencontrés – pour tisser avec précision cette incroyable chevauchée. Ensuite sortir du carnet de voyage ou de la simple reconstitution journalistique afin de nous offrir un chant poétique inventé, original, à la texture colorée mais respectueuse du cheminement intérieur comme géographique du personnage. Cette libéralisation permet au cinéaste d’offrir une double lecture passant simultanément de l’intime au monde extérieur. Cette spécificité, marquée par un temps qui associe cheminement et arrêt, permet de mettre en avant l’exclusive idéologique d’un jeune homme œuvrant littéralement pour son salut.

Pour réussir à retranscrire cet isolement, le réalisateur à la bonne idée d’inscrire la complexité psychologique de son personnage dans les paysages traversés. Malgré les rencontres, il continue invariablement son chemin, comme détaché de l’affection que laisse entrevoir ceux qu’il croise. Sans jamais bafouer la mémoire de McCandless, Penn arrive à mêler son cinéma au travers de cette histoire dont le dénouement sera tragique. Il crée ainsi une œuvre à part entière qui ose retranscrire les pulsions d’un artiste conscient de la difficulté d’arpenter la vie. Celles-ci épousent la quête d’un jeune homme dans sa démarche, son abnégation et sa vérité. Malgré l’impératif temporel et linéaire de tout road-movie supposant un départ et une arrivée, le film évite ce formalisme pour structurer habilement une narration découpée en flash-back, ponctuée durant tout le film d’une voix off et habillée d’une inventivité de mise en scène par moment étourdissante. Penn « casse » alors sans crainte l’idée de pérégrination pour nous entraîner vers un état d’esprit. C’est la force de ce film très travaillé visuellement (mention spéciale pour le chef opérateur français Eric Gautier) qui, par ce parti pris, ne cède jamais dans le mauvais cliché tape à l’œil.

A ce titre les différentes rencontres – un fermier, un couple hippie, un retraité (émouvant Hal Holbrook) – seront l’occasion de confronter les points de vue et d’installer subrepticement un paradoxe. Qu’est-ce qui compte vraiment le plus, le cheminement vers un objectif ou l’objectif lui-même ? Sa traversée sera le temps du choix et des certitudes ;
sa communion dans l’immensité de l’Alaska celui de l’épreuve et de la volonté. Pourtant, quelque chose de spécifique parsème le film. A l’instar du personnage principal nous sommes happés par ce désir de connaître la liberté totale, la communion parfaite, le but émancipateur. Tout le film tend vers cela. Quand Sean Penn nous montre Christopher au cœur de cette nature sauvage, il symbolise une solitude béate mais terriblement exigeante. A bien regarder, les moments de bonheur sont illuminés par les rencontres qui accompagnent son désir de solitude. Paradoxe d’une nature humaine qui tangue entre fantasme et réalité, doute et certitude, peur et confiance.

D’un naturel confondant, Emile Hirsch compose un Christopher McCandless aussi physique que résolu. Confirmant sa compétence de directeur d’acteur hors pair (personne n’a oublié Jack Nicholson dans Crossing Guard) Sean Penn nous livre un film lyrique à bien des égards. Voir ce jeune homme parcourir l’immensité d’une Amérique en pleine guerre du Golfe c’est délivrer un message d’espoir teinté de pessimisme. Comme notre époque.

Geoffroy

par Wrath Mar 15 Jan 2008 - 16:32

Gunner Palace

Un excellent documentaire sur la vie de soldats US en Irak en 2004. A voir.

5/6

par DreamSquare Mar 15 Jan 2008 - 19:03

~~Zorn a écrit:~~Relis ma chronique en haut de page, ça te coupera l'envie. Et puis tu vois, Hostel c'est forcement culte, il y a écrit Tarantino dans le générique

Exact. Je me suis pas pressé pour le voir, mais on m'a demandé récemment mon avis donc je m'y suis penché. Du cinéma stupide et vide.

Je viens de voir 30 Jours De Nuit : c'est pas génial génial mais on passe un bon moment, la réalisation est moyenne malgré quelques fulgurances qui font vraiment plaisir (le bucheron de 120 kilos qui éclate du vampire c'est fendard :-D ). Un pti film sympa qui m'a temporairement fait oublié le navrant AVP:R ! C'est déjà ça.

PTL : Effectivement, bien tentant ce Into The Wild. Malheureusement qu'en VF pour le moment, sitôt qu'il passe dans l'autre cinéma (celui qui respecte les oeuvres) j'y fonce.

par Mar 15 Jan 2008 - 21:22

~~DreamSquare a écrit:~~
~~Zorn a écrit:~~Relis ma chronique en haut de page, ça te coupera l'envie. Et puis tu vois, Hostel c'est forcement culte, il y a écrit Tarantino dans le générique

Exact. Je me suis pas pressé pour le voir, mais on m'a demandé récemment mon avis donc je m'y suis penché. Du cinéma stupide et vide.

Je viens de voir 30 Jours De Nuit : c'est pas génial génial mais on passe un bon moment, la réalisation est moyenne malgré quelques fulgurances qui font vraiment plaisir (le bucheron de 120 kilos qui éclate du vampire c'est fendard :-D ). Un pti film sympa qui m'a temporairement fait oublié le navrant AVP:R ! C'est déjà ça.

PTL : Effectivement, bien tentant ce Into The Wild. Malheureusement qu'en VF pour le moment, sitôt qu'il passe dans l'autre cinéma (celui qui respecte les oeuvres) j'y fonce.

Moi j'ai pu le voir en VOSTF à l'Utopia d'Avignon.

par Wrath Ven 18 Jan 2008 - 17:20

Beowulf

Agréablement surpris. Pour une fois qu'un film est cent fois mieux que sa bande annonce ça fait du bien.

De plus la critique du christianisme est assez rare pour être relevée, surtout en ce moment dans un film américain.

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