WWII et livres historiques
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Necrowarrior
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WWII et livres historiques
d'ailleur à ce sujet, quels sont vos livres préférés?
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je lis actuellement un livre sur la bataille de Stalingrad moment crucial sur le devenir de l'Allemagne Nazi, et des différentes erreurs que commettra Hitler dans ce conflit à l'Est.
notamment son obsession pour les pétroles du Caucase qui devaient noramlement assoir la suprémacie de l'allemagne nazi sur le monde, si ses objectifs avaient été atteint.
l'opération Barbarossa, Siegfried etc.. sont analysées sur toutes les coutures dans ce livre, ainsi que l'aspect cruel et psychologique de la guerre dans les deux camps (russe et allemand).
un bouquin très intéressant si vous voulez tout savoir sur le conflict à l'Est.
son titre: "Stalingrad" par A.Beevor.(disponible sur Amazon.fr)
Re: WWII et livres historiques
Sinon j'ai plus de 6000 pages de photos ( 11 livres) sur la Waffen SS! Enfin là je te parle de ce qui est historiquement déramgeant voir incorrect! Je ne parles plus des livres d'histoire dogmatiques!
Re: WWII et livres historiques
Siegfried a écrit:Enfin là je te parle de ce qui est historiquement déramgeant voir incorrect!
Pour parler de ces livres-là par contre, je vous demanderai d'en parler en privé uniquement, pour les raisons que vous savez...
Necrowarrior- Légat de légion
Re: WWII et livres historiques
Re: WWII et livres historiques
Baalberith- Princeps Romanorum
Re: WWII et livres historiques
Je vous conseille de Jean Mabire:
-Les panzers de la Garde Noire
-La division Nordland
-Les jeunes fauves du Fuhrer
Dernière édition par 1 le Sam 18 Déc 2004 - 14:57, édité 1 fois
Re: WWII et livres historiques
Merci de votre compréhension !
Re: WWII et livres historiques
Re: WWII et livres historiques
aguares a écrit:pour des raisons de prudence, j'en conclus donc que ce topic n'a pas lieu d'etre...
Non pas du tout car si cela avait été le cas, je l'aurais supprimé de suite !
Le topic est tout à fait intéressant et libre de continuer son cours mais je demanderai dorénavant à certains de faire preuve de discernement et de modération dans le choix des références qu'ils avancent sous peine de voir leurs posts supprimés ou tout au moins édités.
Re: WWII et livres historiques
Re: WWII et livres historiques
il est clair qu'il faut faire attention de quoi on parle et des références que l'on donne ici, et Necrowarrior à raison;
il y'a les messages privés dans ce cas.
sachez que l'objectif de ce topic n'est pas là pour faire l'apologie du Nazisme, d'ailleur cela ne m'intéresse pas!
je ne m'intéresse qu'aux faits et aux batailles qui ont eu lieu durant cette époque sombre de notre histoire.(le reste fait partie des conséquences que l'on connaît, et je ne les approuve pas.)
il est donc inutile de s'étaler en long et en large dans cette direction.
actuellement j'ai commencé "La chute de Berlin" toujours par A.Beevor.
celui-ci fait notamment une critique objective des horreurs commisent sur les civils par l'arméee rouge, lors de l'invasion de celle ci sur Berlin. Invasion qui a voulu en quelque sorte prendre une revanche sur la 6 éme armée du Reich.
ceci afin je pense de relativiser et de montrer que le régime communiste de Staline, n'était pas non plus un régime de petits saints.
Re: WWII et livres historiques
Re: WWII et livres historiques
Darken_Face a écrit:
actuellement j'ai commencé "La chute de Berlin" toujours par A.Beevor.
celui-ci fait notamment une critique objective des horreurs commisent sur les civils par l'arméee rouge, lors de l'invasion de celle ci sur Berlin. Invasion qui a voulu en quelque sorte prendre une revanche sur la 6 éme armée du Reich.
ceci afin je pense de relativiser et de montrer que le régime communiste de Staline, n'était pas non plus un régime de petits saints.
Ce bouquin tombe à pic lorsqu'on voit que la presse nous fait passé Staline pour un humaniste et combattant de la liberté.
Seigneur Sven- Légat de légion
Re: WWII et livres historiques
pour moi le régime communiste de Staline ne vaut pas mieux que le régime nazi de Hitler.
alors quand aujourd'hui je vois qu'il y'a encore des nostalgiques en France du partie communiste, cela me fait doucement rigoler. (mais bon évitons le hors sujet.)
Re: WWII et livres historiques
Darken_Face a écrit:oui c'est d'ailleurs pour ça qu'il ya eu la guerre froide par la suite.
pour moi le régime communiste de Staline ne vaut pas mieux que le régime nazi de Hitler.
alors quand aujourd'hui je vois qu'il y'a encore des nostalgiques en France du partie communiste, cela me fait doucement rigoler. (mais bon évitons le hors sujet.)
Certes évitons le hors-sujet, mais le parti communiste français fait bien rire les vrais communistes à l'Est...
Re: WWII et livres historiques
Seigneur Sven- Légat de légion
Re: WWII et livres historiques
voici de quoi satisfaire ce manque.
le livre de de Joachim Fest "Les derniers jours d'Hitler" a directement inspiré le scénario de ce film.
Cinq millions d'Allemands ont visionné La Chute et aussitôt, nous Européens, avons l'impression qu'un tabou est tombé, tant la figure de Hitler a conservé un curieux pouvoir de fascination. En fait, le film constitue un spectaculaire hommage à l'un des meilleurs historiens du nazisme, Joachim Fest, et à son livre, Les Derniers Jours de Hitler, qui a directement inspiré le scénario. Archives à l'appui, Fest raconte un Hitler inconnu, " l'homme du souterrain ", qui fait construire son premier bunker en 1933, multiplie les abris jusqu'en 1944 et s'y enferme, manifestation suprême de la situation " dos au mur " que le dictateur a toujours recherché. Dans cette histoire de ruines, de destruction et d'espoirs chimériques, apparaît l'une des clefs du pouvoir de Hitler : maintenir contre l 'évidence, l'illusion d'un IIIe Reich victorieux. Joachim Fest ne se contente pas de brosser avec talent les portraits de Goering, Goebbels et de cet entourage passant de la prostration à la frénésie. Il raconte la déchéance physique de Hitler, son obstination à vouloir détruire, exterminer, même si ses ordres ne sortent plus de ce sarcophage de pierre et d'acier. Fest n'oublie rien des 4500 jours que dura le IIIe Reich, et il a le mérite insigne de nous confronter à cette terrible question : et si le Hitler du bunker était le " vrai " Hitler ?
Joachim Fest a conquis la célébrité voilà trente ans en publiant une biographie de Hitler, la fois best-seller mondial et ouvrage de référence encore aujourd'hui. Il est également l'auteur d'une biographie très remarquée d'Albert Speer (Perrin, 2001).
bonne lecture.
Re: WWII et livres historiques
"La LVF : Par moins 40 degrés devant moscou","La Légion perdue" et "Sur les pistes de la Russie centrale".
tous ces ouvrages sont en ventes libres sur Amazon et également sur d'autres sites.
la LVF signifie: Legionaires vonlontaires Français.
ces hommes ont été incorporés dans la Wehrmacht dans le cadre d'une propagande assimilée à une " croisade contre le bolchevisme.
Le 22 juin 1941, sans déclaration de guerre, les forces allemandes, suivies par leurs armées alliées (Roumanie, Italie, Hongrie, Finlande, Slovaquie), attaquent brusquement l'URSS. La propagande assimile cette attaque à une " croisade contre le bolchevisme ". Ainsi, dans presque tous les États d'Europe qui n'ont pu déclarer la guerre à l'URSS (Espagne, Belgique, Pays-Bas, Danemark, Norvège, Croatie...) sont levés des corps de volontaires pour lutter contre l'armée rouge, un peu comme les brigades internationales durant la guerre d'Espagne. Les conventions de La Haye leur interdisent de combattre hors du cadre de la Wehrmacht et autrement que sous l'uniforme allemand. En France est ainsi constituée, à Paris, le 6 juillet 1941 une Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF) à l'initiative des partis collaborationnistes de zone occupée (PPF, RNP, MSR, etc.), qui fourniront le gros des volontaires. Comme le souhaite l'Allemagne, le gouvernement de Vichy ne participe pas à l'affaire, sinon pour donner son accord de principe (le Maréchal Pétain écrira quand même, quelques mois plus tard, que les légionnaires de la LVF " détiennent une part de l'honneur militaire de la France "). Très - trop - rapidement formé dans un camp de l'ex-Pologne, le gros du régiment de la LVF doit accomplir une longue marche à pied depuis Smolensk, exactement sur le même itinéraire que la Grande Armée de 1812. Rattaché à une division d'infanterie bavaroise, il sera engagé dès la fin novembre sur le front de Moscou, à seulement 70 kilomètres de la capitale soviétique. Il participera, le 1er décembre, à une vigoureuse attaque et restera en lignes jusqu'au 8 du même mois. Les conditions climatiques épouvantables du moment, le froid terrible, les pieds gelés, videront les rangs plus sûrement et plus rapidement que leur adversaire russe, qui s'accroche au terrain avec une énergie farouche. Au moment de la relève, il ne reste plus sur les rangs que quelques dizaines d'hommes. La suite de cette aventure a été publiée aux éditions Grancher en deux volumes : La Légion perdue et Sur les pistes de la Russie centrale.
Après la campagne de la première Légion devant Moscou en 1941 (Fayard) et les combats de la " Légion perdue " contre les partisans soviétiques dans les forêts de Biélorussie en 1942 (Ed. Grancher), voici le troisième volet de l'histoire des volontaires français du front de l'Est, qui se déroule en 1943.
Ce volume raconte dans ses détails, parfois pittoresques et toujours dramatiques, l'aventure du IIIe bataillon de la Légion française, laquelle constitue le 638e régiment d'infanterie français de l'armée allemande. Ce bataillon va être confronté à des adversaires de plus en plus nombreux et de plus en plus mordants.
Au capitaine Demessine, un officier de réserve qui n'a pas su s'imposer, va succéder à sa tête le chef de bataillon Panné, un saint-cyrien très compétent qui saura restaurer la cohésion, aidé par plusieurs autres officiers d'active de l'armée française, venus à la LVF par le biais de la Légion tricolore désormais dissoute. Pourtant, l'unité n'est pas dépolitisée à la base, puisque les trois quarts des hommes de troupe et des sous-officiers possèdent la carte du PPF Jacques Doriot lui-même est pendant la plus grande partie de l'année officier de renseignements du bataillon.
Aux ordres de leurs nouveaux chefs, les légionnaires du IIIe bataillon retrouvent l'allant nécessaire pour se battre contre les partisans en Russie centrale, puis en Biélorussie, où ils retrouvent leurs camarades du Ier bataillon, eux aussi engagés contre les bandes d'irréguliers. Dans la neige des forêts hostiles ou sous le soleil d'un été brûlant, ils connaissent patrouilles, guerre des mines, embuscades, attaques de postes, grandes opérations d'encerclement, alors que la situation militaire se dégrade sans cesse sur le grand front pour les Allemands et leurs alliés, à Stalingrad, à Koursk, partout...
Re: WWII et livres historiques
"Skorzeny, l'homme le plus dangereux d'Europe".
On peut dire que la légende de Skorzeny a commencé avec l'enlèvement de Mussolini au Gran Sasso, alors qu'il avait déjà eu, auparavant, une vie riche et aventureuse. Chacun se rappelle l'audacieux raid en planeurs, l'atterrissage acrobatique au milieu d'énormes éboulis rocheux, la mission consistant à neutraliser une garnison italienne de plusieurs centaines d'hommes avec moins de cent paras et SS, puis à libérer Mussolini. L'opération fut une réussite complète. A partir de là, dés que le Q.G. d'Hitler avait à imaginer une action "impossible" les augures pensaient "Skorzeny". Ce livre ouvre les dossiers cachés de Skorzeny. On n'avait jamais su, par exemple, qu'il avait reçu l'ordre d'encercler avec ses hommes la capitale de la "Zone Sud", Vichy... et de se tenir prêt à enlever le maréchal Pétain ! Plus tard, au moment où les différents fronts craquaient les uns après les autres, ce fut encore la formation SS de Skorzeny qui mit à l'abri à Budapest le régent Horthy, tout prêt à signer une paix séparée avec les Soviétiques, ce qui aurait ouvert une brèche dans le système défensif allemand. Le même homme-miracle allait lâcher ses équipes de nageurs de combat sur le Danube, pour gêner le ravitaillement russe en armes et en munitions. Bilan : 30 000 tonnes de péniches et bateaux automoteurs coulés en quelques semaines. Les généraux nazis aux abois le chargèrent aussi de faire sauter le pont métallique de Remagen, par où les divisions américaines déferlaient sur l'Allemagne, de ramener dans les lignes allemandes un "Kampfgruppe" de deux mille hommes encerclé très au-delà des lignes russes. Enfin, il fut un des organisateurs de l'ultime offensive de la dernière guerre, via les forêts des Ardennes, où des troupes d'assaut SS, revêtues d'uniformes américains, devaient prendre les ponts de la Meuse et pousser jusqu'à Anvers...
Re: WWII et livres historiques
je conseille tout particulièrement le premier livre de cette liste:
Dans la nuit du 10 mai 1941, se produisit l'un des événements les plus incroyables et les plus méconnus de la Seconde Guerre mondiale : Rudolf Hess, le bras droit de Hitler, se rendit en Ecosse, seul aux commandes de son avion Messerschmitt, et atterrit près de Glasgow. Jusqu'ici, personne n'avait réellement mis en lumière les véritables raisons de cet acte, qui fut aussitôt considéré, en Allemagne et en Angleterre, comme l'exploit d'un homme atteint par la folie. Rudolf Hess fut désavoué par Hitler, et il garda le silence pendant les cinquante ans d'emprisonnement qui suivirent, jusqu'à sa mort en 1987. Quelle était la vraie raison de cet étrange voyage ? Aujourd'hui, Martin Allen en dévoile les motifs cachés. Il révèle le rôle crucial qu'a joué le SO1, un groupe d'agents secrets chargés par Churchill de mener une guerre psychologique et politique contre Hitler ;
leur machination eut un impact décisif sur le bras de fer entre les deux hommes. Un ouvrage passionnant sur le secret le mieux gardé des services de renseignements britanniques pendant la Seconde Guerre mondiale.
Biographie
Martin Allen, historien anglais, est aussi l'auteur du Roi qui a trahi (Plon, 2000)
Source :
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Au début de la Seconde Guerre mondiale, Armin Lehmann a 12 ans. Il vit à Breslau, dans le nord de l’Allemagne, avec ses parents, tous deux des nazis convaincus. C’est très naturellement qu’il rejoint les Jeunesses hitlériennes et prend part, en 1944, à la défense armée du Vaterland quand l’Armée rouge entre en Allemagne et que le IIIe Reich vacille. Remarqué par Artur Axmann, le chef des Jeunesses hitlériennes, lui-même très proche de Hitler, Armin est recruté au début de l’année 1945 - il a alors à peine 16 ans - comme courrier, rattaché au bunker où Hitler et son entourage proche trouvent refuge dans le sous-sol des jardins de la Chancellerie, juste avant l’assaut final. Sa mission : porter les messages d’Axmann, de Bormann, de Goebbels et de Hitler aux avant-postes qui défendent ce dernier bastion nazi.
Berlin, l’orgueilleuse capitale d’un empire qui devait durer mille ans, est un champ de ruines sur lequel s’acharnent l’artillerie et les « orgues de Staline » de l’Armée rouge. Ce qui n’est pas à terre brûle et les cadavres, civils et militaires confondus, jonchent les rues. Malgré cela, des escouades de SS fanatisés abattent sur place tout homme ou garçon soupçonné de désertion. Vu par l’adolescent qu’est Armin, l’intérieur du bunker offre un contraste saisissant avec ce monde d’apocalypse : soûleries, bacchanales, orgies se succèdent sous terre tandis que se rapproche le son du canon. Le Führer se laisse aller à sa mélancolie paranoïaque, alternant moments de prostration et vitupérations contre les traîtres et les Juifs, cause de tous les malheurs de l’Allemagne…
Blessé lors d’une ultime tentative pour quitter le bunker après le suicide de Hitler, Armin, miraculeusement, survivra. Son récit est un témoignage de première main, saisissant de vérité, sur le crépuscule des « dieux » qui ont ensanglanté l’Europe.
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Les derniers jours dans le bunker comme si vous y étiez. C’est ce que nous propose Bernd Freytag von Loringhoven, alors aide de camp des généraux Guderian puis Krebs. Jusqu’au 29 avril 1945, la veille du suicide de Hitler, il vit le Führer chaque jour. A 90 ans, il s’est confié à François d’Alançon pour ces Mémoires où l’on suit presque heure par heure le crépuscule nazi. Derrière cette volonté de témoigner, il y a chez cet ancien officier de la Wehrmacht antinazi ce qu’il appelle un «devoir de vigilance» et en tout cas une passionnante leçon d’histoire.
Source :
Re: WWII et livres historiques
Re: WWII et livres historiques
Dark Knight a écrit:J'avais déjà entendu parler de ce voyage de Hess. Il me semble que la raison en était la volonté d'Hitler de conclure une paix séparée avec le Royaume-Uni. Débarassé de son front de l'ouest (les USA n'étant pas encore entrés en guerre), l'Allemagne aurait pu ainsi concentrer toutes ses forces sur l'invasion de l'URSS et s'emparer des ressources pétrolières du Caucase et des champs de blé de l'Ukraine...
...Hess avait aussi des sérieux problèmes de mémoire, je crois.
Re: WWII et livres historiques
En tout cas Hess était le chef du parti nazi, mais je vois pas en quoi il mérite le titre de "bars droit" de Hitler.
Baalberith- Princeps Romanorum
Re: WWII et livres historiques
Baalberith a écrit:En tout cas Hess était le chef du parti nazi, mais je vois pas en quoi il mérite le titre de "bars droit" de Hitler.
Il était avec lui au putsch de la brasserie, ainsi que son secrétaire privé, il a sans doute contribué à structurer "Mein kampf"...je dirai plutot proche tout comme Goebbels et Röhm à l'époque.
Re: WWII et livres historiques
Baalberith a écrit:Comme les archives secrètes sont encore sous scellée, je doute fort que cet "historien" anglais puisse vraiment donner les véritables raisons, certainement encore un livre de vulgarisation, bourré d'hypothèses...
En tout cas Hess était le chef du parti nazi, mais je vois pas en quoi il mérite le titre de "bars droit" de Hitler.
Ce livre est à la BU de la fac Lille 3 au passage Baalberith.
Sinon, Hess est celui qui a rédigé mein kampf et qui a accompagné jour après jour Hitler en prison.
Comme de nombreux acolytes il a été déçu par le personnage d'Hitler qui a dénaturé le national-socialisme et qui était tellement obsédé par le problème juif qu'il en a perdu le sens des réalités.
Seigneur Sven- Légat de légion
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