Re: Votre dernier film regardé...

par DreamSquare Ven 15 Sep 2006 - 19:40

L'Année Dernière A Marienbad

Dans un grand hôtel fastueux, un homme tente de convaincre une femme qu'ils ont eu une liaison l'année dernière à Marienbad.

Ne vous fiez pas au synopsis relativement court, car le film se révéle être extrémement tortueux et sublime, tant au niveau de la narration que de sa mise en scène parfaite, véritablement parfaite.Je dois dire qu'ici j'ai été totalement captivé par ce grand labyrinthe scénaristique qui est, pour ma part, totalement jouissif car offrant des interprétations aussi diverses qu'intéressante, permettant de redéfinir quelques notions cinématographiques (en terme de narrations, personnages, mise en scène, propos, rythme etc etc...). J'avoue que de voir de tels films m'a foutu une véritable claque ! Vraiment.

6/6

Bob Roberts

L'epopee satirique de la campagne electorale d'un chanteur de musique folk, Bob Roberts, qui se porte, en 1990, candidat au Senat americain.

Mouais, une narration fluide mais un propos lourdingue en significations. C'est bon Tim Robbins, on sait que t'es démocrate !

2/6

Cheaters - Génération Gruge

Quatre lycéens sont passés maîtres dans l'art de la fraude aux examens. Ils utilisent la tricherie comme une arme de révolte face à une institution scolaire qu'ils jugent par trop tyrannique et contraignante. Menés par Davis, un adolescent séducteur et roublard, Sammy, Victor et Applebee échafaudent un plan qui leur permettra d'avoir toujours des bonnes notes, et ce malgré les soupçons de Mrs. Stark, la directrice de l'établissement.

Oui bon ben forcément c'est nul quoi... Rarement drôle.

1/6

par Sam 16 Sep 2006 - 21:12

Les anges exterminateurs ( Jean-Claude Brisseau ) :

un metteur en scène naïf veut réaliser un film sur la transgression des interdits chez la femme, et auditionne pour celà des jeunes femmes dans des scènes intimes ( masturbation et lesbiennes ). Trois comédiennes vont le manipuler et l'entraîner vers le désastre.

J'ai beaucoup aimé ce film:la dose de sensualité dégagée par certaines scènes est phénoménale ( du niveau de la scène lesbienne de Mulholland drive ), le propos ( les transgressions des interdits, la complexité du désir et l'audace nécessaire à la découverte du plaisir maximal ), consistant, est intéressant ( si on met de coté l'aspect "autojustification" de Brisseau ).

L'actrice qui joue l'ange le plus souvent présent ( celui qui sauve le réalisateur à la fin )a un regard terrible;
elle est magnifique.

Celle qui travaille dans le restaurant est exquise. Re

( Excusez-moi, je ne parviens pas à identifier leurs noms, au milieu de cette floppée de noms féminins )

La naïveté du réalisateur ( dans le film;
je ne parle pas de Brisseau ) est touchante. Ce personnage est hyper humain je trouve.

5/6

par Dim 17 Sep 2006 - 14:59

Ma Super Ex

Un mec se fait une nouvelle petite amie, qui se révèle être la super héroïne G-girl, ayant des pouvoirs similaires à ceux de Superman. Les choses se compliquent lorsqu'il décide de la plaquer pour une collègue de travail.

Ce film est pitoyable, et il est bien bien naze ^^ Luke Wilson est pourtant assez marrant, mais l'ensemble du film est vraiment trop foireux.

0.5/6

Eternal Sunshine Of The Spotless Mind

La femme d'un couple se fait effacer les souvenirs de son conjoint ne le supportant plus. Celui-ci entreprends la même opération, mais au fur et à mesure que ses souvenirs s'envole, il prend conscience de son amour pour elle. Il va donc tenter de lutter contre cette opération.

On m'a dit énormément de bien de ce film, sans jamais me révéler de quoi ça parlait. Je m'attendais à quelque chose de très réaliste, j'ai été très agréablement surpris. Mais il manque quelque chose, j'ai l'impression d'avoir été d'çu, je ne peux donc pas mettre un six ^^

5/6

par DreamSquare Lun 18 Sep 2006 - 10:06

Kordon

Belgrade, début 1997 : après les fraudes électorales massives organisées par le régime de Slobodan Milosevic, les jeunes manifestants déferlent dans les rues.

Face à eux, des cordons policiers se déploient pour maintenir l'ordre.

C'est l'histoire d'un peloton épuisé qui n'a pas été relevé depuis 24 heures et qui dérape.

Tout annonçait un superbe film, jusqu'au générique vraiment excellent... Puis arrive le film, en couleur, filmé a la DV a la manière d'un reportage. Certains acteurs sont vraiment excellents, la dualité police/manifestants pas trop mal mais c'est moche...

3/6

25 Watts

Leche, Seb et Javi traînent avant de rentrer. Un faux pas du mauvais pied et 24 heures à tester les effets des dérèglements du hasard : les amours de l'un, les examens de l'autre, les rencontres farfelues du troisième. Une chronique désinvolte où les décisions se jouent par l'absurde à défaut de pouvoir ou de vouloir trouver sa place.

Par la même équipe que pour "Whisky", mais pas aussi ultime, le meilleur acteur : le Hamster... La tu te dis il lui donne a bouffer des trucs sympas (des graines, un peu de flotte, du parmesan, des coquillettes tout ça quoi...) mais non des croquettes pour chien. Non c'est parfois rigolo mais je préfére clairement Whisky !

4/6

par DreamSquare Lun 18 Sep 2006 - 21:37

Je Vais Bien ne T'en Fais Pas

Comme elle rentre de vacances, Lili, 19 ans, apprend par ses parents que Loïc, son frère jumeau, suite à une violente dispute avec son père, a quitté la maison.

Loïc ne lui donnant pas de nouvelles, Lili finit par se persuader qu'il lui est arrivé quelque chose et part à sa recherche.

Ce qu'elle va découvrir dépasse l'entendement.

Un film vraiment superbe, la légéreté de la mise en scène est parfaite adapté au sujet, lui même porté par une excellente actrice et un Kad Merad étonnant. Une révélation finale bien amenée. A voir.

5/6

Chansons Du Deuxième Etage

Un soir quelque part dans notre hemisphere, une serie d'evenements etranges s'enchainent sans logique apparente: un employe est licencie de facon humiliante, un immigre est violemment agresse dans la rue... Parmi ces personnages singuliers se detache Karl, au visage couvert de cendres. Il vient de mettre le feu a son magasin de meubles afin de toucher la prime d'assurance. Cette nuit-la, personne ne reussit a dormir. Le lendemain, les signes d'un chaos imminent commencent a apparaitre. Karl prend conscience de l'absurdite du monde et combien il est dur d'etre humain.

Un film scandinave assez bizarre... 90 minutes de plans fixes, pas mal travaillés d'ailleurs et de l'humour vraiment particulier mais souvent drôle. Indescriptible.

4/6

par Mar 19 Sep 2006 - 23:07

SAW II

Euh mouais, bof bof le film d'épouvante que tu regardes sans cillier en mangeant devant ton écran.

L'esthétique n'est pas mal mais ils sont toujours en train de couiner ça devient vite fatiguant, j'ai préféré le premier.

3/6 (la moyenne pour la fin lol)

par DreamSquare Mer 20 Sep 2006 - 9:36

Des Serpents Dans L'Avion

Le scénario est dans le titre ^^'

Du bon gros délire totalement assumé qui use la corde des effets "qui font peur". N'empêche qu'on se marre bien par moments (SPOILER : Surtout quand le type balance le chien de la femme j'ai cru crever de rire FIN SPOILER), ça détend les neurones sans voler très haut et surtout il y a LUI :

http://media.hamptonroads.com/images/news/2006/08aug/jacksonsnake440x297.jpg" alt="" />

"J'en ai ma claque de ces putains de serpents qui se balladent dans ce putain d'avion !"

3/6

par Septon Mer 20 Sep 2006 - 12:49

~~DreamSquare a écrit:~~http://media.hamptonroads.com/images/news/2006/08aug/jacksonsnake440x297.jpg" alt="" />

"J'en ai ma claque de ces putains de serpents qui se balladent dans ce putain d'avion !"

~~Total-MDR.~~

par DreamSquare Mer 20 Sep 2006 - 14:32

~~Septon a écrit:~~
~~DreamSquare a écrit:~~http://media.hamptonroads.com/images/news/2006/08aug/jacksonsnake440x297.jpg" alt="" />

"J'en ai ma claque de ces putains de serpents qui se balladent dans ce putain d'avion !"

~~Total-MDR.~~

C'est une réplique dans le film. Mais en VO elle est mieux :

« I have enough of those motherfuckin’ snakes on this motherfuckin’ plane »

par Septon Mer 20 Sep 2006 - 16:21

Ca se vaut !

Tellement mythique...

par DreamSquare Mer 20 Sep 2006 - 22:47

Chantage

Une jeune femme qui a tue l'homme qui voulait la violer est la victime d'un maitre chanteur.

Comme la plupart des premiers films de Hitchcock (période anglaise), il y a de très bonnes idées visuelles mais le scénario souffre de longueurs (on a l'impression que certaines scènes s'étirent pour attendre 1H20 de métrage) et les enjeux moins bons et le suspense beaucoup moins alletant. Un Hitchcock moyen, autant dire un bon film sans plus.

3/6

par DreamSquare Sam 23 Sep 2006 - 10:31

Tien ça fait 2 jours que j'ai pas posté :

Pirates Des Caraïbes - Le Secret Du Coffre Maudit

Dans ce nouvel opus de l'aventure Pirates des Caraïbes, le toujours aussi excentrique pirate Jack Sparrow est confronté subitement à son passé. Treize ans auparavant, Jack signait un pacte avec Davey Jones, le maître des sept mers, dont l'esprit maléfique n'a d'égal que son apparence tentaculaire. En échange de son âme, ce dernier lui promettait le commandement du mythique Black Pearl...

Aujourd'hui, Jones vient donc récupérer sa dette. Mais donner son âme à Jones est sans issue, il n'y a pas de rédemption possible, c'est devenir comme tous les membres de son équipage maudit, un fantôme au physique aussi repoussant que terrifiant. Pour éviter ce sort funeste auquel Jack ne tient pas vraiment, il n'a qu'une solution : retrouver le coffre maudit de Jones où sont cachés les âmes emprisonnées...

Plutôt pas mal, grandiloquant, une bonne bande originale (les morceaux d'orgue sont géniaux). J'ai trouvé Sparrow moins extravagant que sur le premier. Bon film a fin ouverte qui donne envie d'en voir plus...

4/6

Les Condors Ne Meurent Pas Tous Les Jours

L'histoire d'un "pajaros" (oiseaux) ou assassin politique, en Colombie, pendant la guerre civile declenchee apres l'assassinat du leader populaire Gaitan, le 9 avril 1948.

Excellent film. L'acteur incarnant le condor est véritablement dans son personnage. J'aime beaucoup.

5/6

Que Viva Mexico !

Ce film devait montrer l'histoire du Mexique et de la dictature de Porfirio Diaz, jusqu'à la Révolution de 1910-1916. Le scénario initial d'Eisenstein comprenait un prologue, un épilogue et quatre épisodes : I- Fiesta;
II-Sandunga;
III- Maguey ;
IV- Soldadera. Au cours de cette année de tournage (1931-1932), Eisenstein et Alexandrov avaient enregistré près de 70 000 mètres de pellicule. Mais Upton Sinclair, écrivain socialiste millionnaire, qui finança le projet du film, leur coupa les vivres et récupéra les bandes qu'il utilisa à ses propres fins. Eisenstein fut définitivement dépossédé de son travail et ne parla plus jamais de ce film. 30 ans après sa mort, les USA permirent enfin à l'URSS de reprendre possession des rushes - mais il manquait 15 000 m du métrage initial. Le film présenté ici est le résultat du montage de la version de 1979 sous la direction d'Alexandrov.

Film documentaire non terminé par Eisenstein. Une fresque sur le Mexique intéressante. On a l'impression de voir des enfants (les russes) s'émerveillés sur un autre monde ou les gens semblent heureux...

4/6

La Baie Sanglante

Histoire d'un héritage convoité par de nombreuses personnes.

De bons meurtres, une mise en scène parfois inventive mais une narration bateau et peu passionante.

4/6

par Sam 23 Sep 2006 - 13:25

Président

Une histoire du président de la république française.

J'vais pas plus loin, j'ai pas aimé, j'ai pas envie de m'attarder... (Néanmoins, Dupontel est toujours très bon).

2/6

par Sam 23 Sep 2006 - 22:19

La semaine dernière, je suis allé au cinéma (ça m'a ébloui !), pour accompagner une copine...

Bien m'en a pris, j'ai dû supporter Angel-A...

Pour résumer, j'ai pas aimé Djamel, j'ai trouvé la nana moche et le coup des ailes qui apparaissent dans son dos et qui tentent de l'emporter avec Djamel en boulet qui s'accroche à ses pieds, je suis tombé de mon fauteuil...

Je ne remettrai pas mes pieds de sitôt au ciné...à moins que ce soit pour acommpagner une autre copine !

par Sam 23 Sep 2006 - 22:27

~~Nordrvagr a écrit:~~La semaine dernière, je suis allé au cinéma (ça m'a ébloui !), pour accompagner une copine...

Bien m'en a pris, j'ai dû supporter Angel-A...

Pour résumer, j'ai pas aimé Djamel, j'ai trouvé la nana moche et le coup des ailes qui apparaissent dans son dos et qui tentent de l'emporter avec Djamel en boulet qui s'accroche à ses pieds, je suis tombé de mon fauteuil...

Je ne remettrai pas mes pieds de sitôt au ciné...à moins que ce soit pour acommpagner une autre copine !

C'est vrai que j'ai été également très déçu par ce film. Le concept n'était pas forcément mauvais mais vraiment quelle daube!

Djamel énerve avec ses habitudes "comiques" et la fille énerve également au possible avec son accent à la mort moi le noeud...

par Sam 23 Sep 2006 - 23:28

Bah pourtant, c'était censé être l'un des meilleurs films de Besson

par Dim 24 Sep 2006 - 2:10

Mais ça l'est sans doutes

(J'affirme ma haine pour Besson ^^)

par Dim 24 Sep 2006 - 9:23

Léon, Nikita, Le 5ème élement sont très bons je trouve.

par DreamSquare Dim 24 Sep 2006 - 10:06

Angel-A est bien pourri. Simplement parce que Besson cible une population de crétins et donc forcément = intrigue au rabais (oooooh mais c'est un ange en fait !!! Bah ouais connard c'est dans le titre du film >
<
), acteurs bankables (Djamel pour les cités et la mannequin pour les vieux pervers en manque).

En fait le seul truc que j'ai trouvé de positif c'est sa mise en scène, qui par moments est véritablement très bonne (notamment le plan séquence lorsque Djamel se regarde dans le miroir et pleure) qui relève le niveau.

En fait Angel-A c'est comme les productions Besson avec une meilleure mise en scène.

Au Hazard Balthazar

La vie de l'ane Balthazar, plonge au milieu des drames humains et qui en meurt. "Je voulais que l'ane traverse un certain nombre de groupes humains qui representent les vices de l'humanite. Il fallait aussi, etant donne que la vie d'un ane est tres egale, tres sereine, trouver un mouvement, une montee dramatique. C'est a ce moment que j'ai pense a une fille, a la fille qui se perd."

Rhâ c'est con, le film se grille dès la première scène avec un sublime "je te baptise Balthazar". Sinon ça aurait été chiant sans plus. Bref, Bresson ça ne passera jamais, de la symbolique pompeuse, naïf comme c'est pas permis... Rha ça me gave.

1/6

par Dim 24 Sep 2006 - 12:54

Je me souviens d'une chronique au sujet d'Angel-A qui encourageait à déclarer la guerre au Danemark, ceci à cause de la prestation nullissime de l'actrice principale.

Eh oui, l'accent danois, ça n'est pas très charmant, de prime abord...

Pour Besson, je ne retiens que Le dernier combat!

Sinon hier:

Ernst Lubitsch - Illusions Perdues

Excellente comédie américaine, satirique, des années 40.

5/6

par Dim 24 Sep 2006 - 20:56

2 navets et un plutot moyen ce week-end.

La guerre des mondes

Arrivé dans le dernier quart d'heure du film, on se demande comment ils vont pouvoir retourner la situation sans perdre toute crédibilité scénaristique. Bah non, pas de miracle...

Reste les effets spéciaux, sympas. Entre nous, ça faisait longtemps que Spielberg n'avait pas fait une bouse, ça devait lui manquer...

2/6

Wolf Creek

Avec une permière heure (voire plus) bien dispensable, il ne reste plus grand chose à bouffer sur cette histoire de 3 jeunes paumés dans le desert australien et séquestrés par un maniaque. Le seul intérêt résidera finalement dans le choix des victimes et des survivants, qui sort un peu des sentiers battus.

2/6

Kingdom of Heaven

Contre toute attente, le meilleur du week-end (mais c'était pas dur). Bon, assez holywoodien dans l'approche, bien sûr, mais moins manichéen qu'on pourrait le penser vu le sujet abordé (les croisades), ça reste divertissant, meme si c'est loin d'etre le meilleur Ridley Scott, évidemment.

4/6

par DreamSquare Dim 24 Sep 2006 - 22:46

Le Manuscrit Trouvé A Saragosse

Le jeune capitaine de la garde wallone du roi d'Espagne traverse les montagnes sauvages de la Sierra Morena pour se rendre à Madrid. Il fait la connaissance, dans l'auberge où il passe la nuit, de princesses maures qui lui dévoilent un mystère : il accomplira de grands exploits, mais auparavant il lui faudra prouver son courage.

Superbe ! Une photographie vraiment magnifique, de beaux contrastes de noir et blanc. Une narration volontairement confuse pour offrir au spectateur un meli melo d'anecdotes, mélangeant mysticisme, relation amoureuse, honneur etc... Un véritable joyaux du cinéma Polonais signé Wojciech Has. A voir !

5,5/6

par Lun 25 Sep 2006 - 0:38

"Walk the line" version dvd colector.

tout simplement superbe un très grand film sur Johnny Cash.

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ma note: 6/6.

par Mer 27 Sep 2006 - 15:58

Festen (la critique de DS m'avait donné envie de le voir)

Un film pour le moins... déroutant ! Des prises de vues parfois assez subtiles, beaucoup de choses suggérées (tout n'est pas vraiment révélé d'ailleurs), des personnages intéressants, et un Ulrich Thomsen excellent ! Un film étrange et noir, mais beau à la fois.

4/6

par DreamSquare Mer 27 Sep 2006 - 16:42

~~Nachsichtig a écrit:~~Festen (la critique de DS m'avait donné envie de le voir)

Un film pour le moins... déroutant ! Des prises de vues parfois assez subtiles, beaucoup de choses suggérées (tout n'est pas vraiment révélé d'ailleurs), des personnages intéressants, et un Ulrich Thomsen excellent ! Un film étrange et noir, mais beau à la fois.

4/6

C'est vrai que les prises du vues sont très particulière. Et les exigences du dogme 95 pousse a trouver des cadrages spéciaux. Je pense notamment lorsque le Taxi arrive dans la cours du chateau... La camera est tenue sur le sol et se retourne brusquement pour suivre la voiture (c'est pas clair pour ceux qui n'ont pas vu le film mais bon ).

Moi dernièrement j'ai vu :

Super Inframan

La sorcière des glaces veut dominer le monde. Un professeur décide de transformer un de ses scientifiques en super inframan pour éradiquer la menace.

Un pur film dont seul les asiatiques ont le secret. Directement culte. Faut aimer ^^'

Go inframan go !/6

L'Homme A La Camera

Il n'y a pas de scénario. Ici, tout est purement expérimental. Il s'agit de filmer les gens, c'est tout. Ce film expérimental Russe a révolutionner en quelque sorte le concept de cinéma en mettant en question "quoi filmer" pour "quoi montrer". Dziga Vertov met donc ici la camera comme spectateur passif de la vie des gens. Elle fait office de voyeurisme (un superbe plan ou un oeil transparait a travers l'objectif ou alors la camera démesurément grande par rapport a une foule toute petite. Une curiosité a voir.

6/6

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