POSTCHRIST
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-20%
Le deal à ne pas rater :
-20% Récupérateur à eau mural 300 litres (Anthracite)
79 € 99 €
Voir le deal

le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière

3 participants

Aller en bas

le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière Empty le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière

Message par  Lun 27 Sep 2010 - 13:45

[url]http://www.lepoint.fr/debats/debat-le-salut-par-le-neoliberalisme-27-09-2010-1241591_34.php[/url]



Le néolibéralisme, est-ce la solution d'avenir ?



À l'image du programme proposé par audace et qui pourra être complété et discuté :

- Fiscalité nationale réduite à la flat tax avec fiscalisation des allocations en nature ou en espèces ;
donc suppression de l'ISF, des niches, etc.

- Fin de l'épargne à fiscalité réglementée particulière (LEP, LDD, PEL, PEA... lois Robien, Borloo, Scellier, Malraux...).

- Fin de la particularisation du logement social (20 % Gayssot, exonération de TF, barèmes sociaux...).

- Uniformisation des règles de prélèvements applicables aux salaires ou traitements (fin des emplois jeunes, retour à l'emploi des seniors, heures sup, etc.).

- Revenir du smic au smig, puis faire disparaître la notion de salaire minimum uniforme.

- Retraite par capitalisation, privatisation de l'assurance-maladie.

- Interdiction des subventions aux syndicats ou associations

- Budgétisation au niveau de la commune de tous les aspects intercommunaux (pas de fiscalisation de syndicats intercommunaux, communautés, etc.).

- Abolition des monopoles : transports en commun, taxis, notaires...

- Dépénalisation des drogues et de la prostitution (pas du proxénétisme).
avatar


Revenir en haut Aller en bas

le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière Empty Re: le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière

Message par  Lun 27 Sep 2010 - 21:12

Ces mesures présentées comme ça, ne sont pas vraiment développées. Pourquoi le néolibéralisme nous ferait atteindre "le salut", autrement dit le plein emploi, la croissance, et toutes ces choses drôlement séduisantes, via ces mesures ?

Je m'interroge notamment sur la dépénalisation des drogues et de la prostitution. Je me pose deux questions : est-il vraisemblable de penser que l'État puisse avoir le contrôle absolu et tirer un bénéfice important (suffisamment important pour avoir un impact sur le chois d'une orientation politique générale) du commerce de drogue ? Et au delà de ça, est-il souhaitable que l'État permette à sa population de se droguer en toute liberté, et de tolérer de telles pratique ?
avatar


Revenir en haut Aller en bas

le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière Empty Re: le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière

Message par W.Whateley Lun 27 Sep 2010 - 21:32

Si ça leur rapporte de la thune, c'est acceptable. Quant à la dépénalisation de la prostitution, je suis pour les bordels d'Etat, mais là c'est n'importe quoi. Ils vont mettre une taxe sur la prostitution ensuite, j'imagine, avec un supplément pour les mineurs qui pratiquent (ou peut-être des 'aides' pour les y encourager ?). Avec ce genre de libéralisme sauvage, immoral et destructeur, il n'y a même pas de débat de toutes façons, ce serait comme en lancer un sur "Vos enfants violés : pour ou contre ?" ou "Travailler sans salaire : la venue du Messie ou la grève généralisée ?". Même si je suis sûr qu'il y en aurait quand même toujours pour répondre par la positive.
W.Whateley
W.Whateley
Centurion
Centurion


Revenir en haut Aller en bas

le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière Empty Re: le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière

Message par  Lun 27 Sep 2010 - 22:51

Il ferait mieux de remettre de le service militaire obligatoire, il y aurait moins de branle-couilles.
avatar


Revenir en haut Aller en bas

le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière Empty Re: le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière

Message par W.Whateley Lun 27 Sep 2010 - 23:15

beyonder a écrit:Il ferait mieux de remettre de le service militaire obligatoire, il y aurait moins de branle-couilles.


Bizarremment, je ne suis pas tout à fait convaincu. Aucune simple mesure ne suffirait à endiguer la déchéance actuelle, seule une refonte complète de notre système le pourrait. Si l'on remettait le service obligatoire à l'instant même, on aurait un beau bordel limite 68 sur les bras et ça ne mènerait à rien.

De toutes façons, tu aurais vraiment envie de te retrouver à l'armée une année entière entouré quasi-exclusivement de dégénérés des banlieues et de te retrouver systématiquement puni pour toutes les conneries qu'ils ne cesseront de faire, sans compter tout ce qu'ils feront pour te pourrir la vie (lynchage et autres) en profitant de leur surnombre ? Parce que c'est ce que ça signifierait, objectivement, d'autant plus qu'il y aurait certainement des mesures pour "favoriser leur intégration", c'est à dire forcer la hiérarchie à les laisser faire, jusque dans l'armée, oui. Autant instaurer un "séjour en prison obligatoire".
W.Whateley
W.Whateley
Centurion
Centurion


Revenir en haut Aller en bas

le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière Empty Re: le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière

Message par  Lun 27 Sep 2010 - 23:30

W.Whateley a écrit:
Bizarremment, je ne suis pas tout à fait convaincu. Aucune simple mesure ne suffirait à endiguer la déchéance actuelle, seule une refonte complète de notre système le pourrait. Si l'on remettait le service obligatoire à l'instant même, on aurait un beau bordel limite 68 sur les bras et ça ne mènerait à rien.

De toutes façons, tu aurais vraiment envie de te retrouver à l'armée une année entière entouré quasi-exclusivement de dégénérés des banlieues et de te retrouver systématiquement puni pour toutes les conneries qu'ils ne cesseront de faire, sans compter tout ce qu'ils feront pour te pourrir la vie (lynchage et autres) en profitant de leur surnombre ? Parce que c'est ce que ça signifierait, objectivement, d'autant plus qu'il y aurait certainement des mesures pour "favoriser leur intégration", c'est à dire forcer la hiérarchie à les laisser faire, jusque dans l'armée, oui. Autant instaurer un "séjour en prison obligatoire".


Je sais je me suis emporté. Je me réecoute FINNTROLL " Svartberg" sur Midnattens Widunder.Je suis fou et je me suis transformé en guerrier assoifé de sang.Voilà ma fureur: [url]https://www.youtube.com/watch?v=Yd0buLW7_dw[/url]
avatar


Revenir en haut Aller en bas

le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière Empty Re: le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière

Message par  Mar 28 Sep 2010 - 1:25

néo-libéralisme, subst. masc. Forme moderne du libéralisme qui admet une intervention limitée de l'état. Un certain nombre de personnes qui sont très engagées par ailleurs, et qui se trouvent attachées au thème de l'existentialisme, en arrivent à développer des théories politiques qui, au fond (...) sont des théories teintées de néo-libéralisme (Sartre, Existent., 1946, p.129).

Source: [url]http://www.cnrtl.fr/definition/n%C3%A9o-lib%C3%A9ralisme[/url]


Le terme de néolibéralisme est aujourd'hui utilisé pour désigner un ensemble multidimensionnel d'analyses d'inspiration libérale ou supposées telles qui critiquent généralement le développement d'un important État-providence dans les pays développés après 1945 et l'accroissement des interventions publiques dans l'économie [1]. Ces analyses défendent, au contraire, l'importance du marché selon des considérations qui vont de l'efficacité économique du marché à la liberté de l'individu, et recommandent de fortement restreindre les interventions étatiques dans l'activité économique. Le terme a une connotation péjorative et recouvre des analyses d'écoles très différentes. Son utilisation pour désigner cet ensemble d'analyses ne fait donc pas consensus. Il est couramment utilisé par les courants critiques du libéralisme contemporain, tandis que la plupart des analystes désignés par ce terme refusent de s'y reconnaître.



[...]



Nouvel usage du terme



Article détaillé : antilibéralisme.



Depuis les années 1990 en Europe, le terme « néolibéralisme » est repris parfois en association avec le mot « ultra-libéralisme » ou même « hyperlibéralisme » [17] pour qualifier des politiques libérales sur le plan économique, comme celles de Margaret Thatcher au Royaume-Uni et Ronald Reagan aux États-Unis dans les années 1980, et de Pinochet au Chili, ainsi que celles du FMI, de l'OMC, de la Banque mondiale [18] et de l'Union européenne. Ce terme est souvent employé à gauche, mais peut aussi faire partie du vocabulaire de la droite dite « conservatrice ». Pour ceux qui le dénoncent, le « néolibéralisme » accroît les inégalités sociales, réduit la souveraineté des États[19] et nuit au développement des pays en développement.

Source: [url]http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9olib%C3%A9ralisme[/url]





Ouais, intéressant de voir que le volet économique de ces mesures n'est pas débattu. J'avoue ne pas comprendre toutes les mesures économiques présentées ainsi que leurs implications. Et à quelque part, là n'est pas vraiment la question: quant au néolibéralisme et au rôle de l'état, il y a une question à se poser: est-ce que nous devrions être là pour l'état ou alors l'état devrait-il être là pour nous, en tant que collectivité, mise en commun des ressources? Est-ce que nous ne devrions être que des rouages passifs et vides de sens dans la machine de l'économie ou alors est-ce que l'économie devrait être la machine qui nous permet d'exister et de créer les conditions matérielles cadres pour donner sens à notre existence?

L'état est-il un gendarme, percepteur d'impôt et dirigeant? Le côté sécuritaire exprime-t-il le contrôle des citoyens et l'interdiction de toute déviance, la répression, ou alors la protection des droits du citoyens? Le côté impôts, argent publique, exprime-t-il un mal nécessaire dont on doit user le plus parcimonieusement possible parce qu'un welfare state serait impossible, que le social endormirait les gens et que la compétition il n'y a que ça de vrai, ou alors l'argent public réinvesti dans le social est-il une mise en commun des ressources permettant d'optimiser les services tels que l'éducation, la sécurité, la santé etc., de permettre une amélioration de la condition humaine ou un maintien d'une qualité de vie décente? Et le côté dirigeant, exprime-t-il l'autorité mise au service d'une minorité de nantis parvenus ou alors exprime-t-il l'autorité au service d'une majorité à fédérer autour de valeurs communes et de buts communs?

Je vous le donne en mille, on est toujours aux premières solutions: celles du court terme, celles qui se calquent sur un paradigme purement économique et quantitatif, au mépris d'une régulation éthique, politique et légale, et donc au mépris de la qualité de vie, de la collectivité, et orientées vers la maximisation des gains d'une minorité, au détriment de la majorité et par division de celle-ci (divide ut regnat).

Quand on avait des élites capitalistes au pouvoir tantôt sanglant, tantôt créateur de richesse, on pouvait encore être à la limite y trouver du bon et en être bénéficiaire... Actuellement, on a le sentiment qu'elles ne créent plus rien, elles n'impriment plus aucune dynamique, plus aucun projet: elles sont des parasites, saprophytes, coprophages, elles exploitent ce qui reste à exploiter de l'oeuvre des générations passées, d'une civilisation apparemment moribonde ou au moins en crise. C'est à se demander si la prochaine utopie, quelle qu'elle soit, la première qui passera, ne réussira pas à mobiliser directement les masses aussi loin et excessivement qu'elles auront attendu et accumulé un désir d'avancer vers quelque futur, en pas réglés, fût-ce vers le précipice...



Le pire est de voir bon nombre de gens ne pas remarquer le double aspect du libéralisme, s'appuyant tantôt sur une défense de la liberté individuelle, tantôt sur une défense de la liberté individuelle appliquée à l'économie, en bref: un passe-droit complet pour les intérêts de certains. De même, pas grand monde ne semble se poser de question quant à cette idée de liberté individuelle, de l'individu qui serait toujours libre et responsable de choisir ce qu'il veut. Or, cela ne tient aucun compte des processus d'influence et de déterminants sociaux puissants (éducation, niveau social etc.). Nous ne sommes pas libres, nous ne naissons pas libres, quand bien même nous devrions y tendre, avec le concours de l'état et des lois. La version néolibérale implicite est différente et cynique: "vous êtes libres, donc inutile de chercher à y tendre, inutile de vouloir plus de liberté."

En plus de cela, on répand la croyance que l'économie est un jeu de hasard, quelque chose de complexe, que l'on ne prévoit pas très bien, et que de toute façon, le système économique n'est pas discutable, n'est pas réformable, qu'il n'y a qu'une voie et que c'est celle que l'on empreinte actuellement, et qu'elle va continuer de nous mener vers un futur positif, que le progrès est linéaire, comme acquis. On sent un idéalisme, une utopie toute proche d'un reste du plus mauvais progressisme... Or, les parieurs et boursicoteurs de tout poil prédisent bien le marché, l'économique, à court terme le marché et pensent le maîtriser, bien qu'ils ne sachent pas et ne s'intéressent finalement guère à l'avenir du système économique, à sa pérennité (étant entendu que le but du jeu est de gagner le plus possible avec le moins d'effort et en moins de temps possible).

Cette autre croyance: l'individu est libre, et il n'a donc pas de liberté à conquérir, il faut la déconstruire. Cela ne tient aucun compte de l'inégalité fondamentale, irrémédiable entre individus (éducation, niveaux social, provenance géographique, situation politique et économique etc.);
en ne tenant pas compte non plus du peu de poids d'un individu en face d'intérêts économiques, qui plus est d'un individu coupé du collectif, plus encore: d'un individu coupé d'un collectif étatique de toute façon légalement impuissant en face des lobbys économique (impuissant du fait du refus néolibéral/capitaliste d'intervention de l'état su le secteur économique;
ou plutôt impuissance nourrie de la complicité que les dirigeants entretiennent avec les lobbys économiques!)...

Aussi, la combinaison d'une part de la liberté totale de l'économie à l'endroit de l'état, de la république, de la collectivité (le secteur économique n'a pas de compte à rendre, il est libre, la collectivité n'a pas le droit d'être interventionniste argent secteur privé -/->
secteur public... si ce n'est pour payer les pots cassés argent public -->
secteur privé) avec d'autre part l'idée que l'individu est libre et responsable constitue un cocktail détonnant de perversité. Il n'y a plus d'état de droit quant aux actions du système économique, plus de gardes-fous moraux/éthiques, soit légaux: le secteur économique est pleinement libre.

En gros, on laisse les masses jouer avec des problématiques souvent insolubles de valeurs, d'immigration, des grèves, d'identité nationale, d'appartenance gauche-droite (comme si ça disait encore quelque chose, du moment que PS et UMP sont tous deux néolibéraux), bref des bêtises sans nom... Et, plus discrètement, on s'occupe des intérêts financiers, on joue le jeu de lobbys, on se fait concurrence, puis on crée des cartels (ah, la concurrence et la privatisation font toujours baisser les prix, vraiment? elles font surtout toujours augmenter le compte en banque de certains), on ménage sa petite combine, au mépris de la res publica, au vu et au su de tout le monde...

C'est le règne de la quantité sur la qualité, c'est le mépris des valeurs et des lois, du bien commun, le sacrifice de la pérennité du système, donc des états, des sociétés et des conditions de vie sur l'autel du profit immédiat d'un petit nombre...

La société de l'immédiateté;
la crise des valeurs;
le règne de la quantité;
l'avoir matériel confinant au religieux consumériste dominant l'être;
la dévaluation de l'existence;
l'oubli de la qualité de vie;
la faillite de l'ordre;
la destruction de la famille;
l'irresponsabilité;
la prédominance de droits sans devoirs;
la démission devant la responsabilité de faire des projets, d'assurer un futur: si bien des conservateurs, voire des traditionalistes, portent cette critique à la société et aux individus, ils omettent gravement de la faire au secteur économiques, médiatiques et politiques, qui portent de façon la plus flagrante et le plus gravement atteinte à ce qu'ils proposent de protéger... C'est sans compter que le conservatisme est toujours du côté des nantis, des puissants. Il est composé de gens qui croient maintenir la tradition, de bonne foi, alors qu'ils sont les hochets des puissants, ou alors font hypocritement semblant, tout en étant l'élite des désinformateurs et des manipulateurs, les défenseurs du statu quo comme seul horizon...

"Ah, tout fout le camp: les valeurs, la famille, les jeunes, la nation, le patriotisme, le courage, l'amour etc. etc. Mais... l'économie, non monsieur: on n'y touche pas! C'est comme ça."

Au fond, d'où que ces défauts proviennent, - couches plus basses ou plus hautes -, il est certain que la triade des sect(at)eurs sus-mentionnés a en le monopole absolu (encore...) et avec les conséquences les pires. L'on nous fait la leçon pour une broutille de la majorité pour mieux faire diversion et laisser de coté une énormité de quelques uns.



Néo-libéralisme: c'est un cancer qui se pavane impunément, arrogant et encravaté.
avatar


Revenir en haut Aller en bas

le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière Empty Re: le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière

Message par Necrowarrior Mar 28 Sep 2010 - 9:26

Avec toi, on a toujours l'impression au premier abord que tu as copié/collé une page de wikipédia, mais en fait non! :mrgreen:



Sinon sur le fond, je crois qu'on est d'accord sur la critique du libéralisme, là où on est sans doute pas d'accord, c'est sur les valeurs à mettre en opposition. Une fois j'avais lu l'expression "pousseur de caddie", c'est en ça que l'individu suivant l'idéologie libérale tend à transformer l'homme (si ce n'est déjà fait), en un bête pousseur de caddie, dont la seule préoccupation est le pouvoir d'achat.



A mettre en parallèle avec la vidéo de "C dans l'air" que j'ai posté sur le sujet des élections en Suède: les analyste n'arrivaient pas à comprendre qu'une nation prospère comme la Suède vienne à se tourner vers l'extrême droite, ça a dû donner une douche froide à ceux qui croyaient encore à une vision marxiste de l'homme où les biens matériels et le pouvoir d'achat suffit à contenter le peuple* (enfin dans toute la mesure de ces 3% qui pourraient représenter uniquement les pauvres de Suède, mais je n'y crois pas).



* enfin si ce n'est pas ça la vision marxisme, n'hésitez pas à me reprendre.
Necrowarrior
Necrowarrior
Légat de légion
Légat de légion


Revenir en haut Aller en bas

le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière Empty Re: le néo libéralisme: le salut ou la mise en bière

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum