Machisme, identité sexuelle et relations homme/femme
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La Matriarcat
La Nana
Terme archaïque, sans doute étrusco-lydien, auquel fait référence la sociologie matriarcale des hautes époques. En Français , « nonne » sœur religieuse est de même origine .A vrai dire le règne de la nana ou nonne représentait, par rapport au matriarcat strict, une réaction salutaire puisqu’il substituait au règne de la femme sénile celui de le femme dynamique. Décadent, il retombait dans le matriarcat strict (comme en Asie mineure, lorsque Cybèle succéda à Artémis en tant que Arcane) ou aboutissant au patriarcat (comme à Rome, quand la révolution rejeta le matriarcat étrusque et ses rois soumis aux nanas devenues abusives). Les Sibylles et Pythies représentèrent une floraison de cette institution, à moins qu’elles ne se soient reliées à une forme typiquement berbère du matriarcat, celui des grandes reines. La nana personnage tabou, se retrouve en filigrane dans la haute époque des peuples scandinaves, océaniques et méditerranéens. Elle s’éteignit peut-être en occident avec la druidesse. Sainte Anne de Bretagne rappelle le souvenir à peine christianisé, soit d’une « grande nana » régnant sur un collège de nanas soit celui de la déesse Ana symbolisant l’âme du globe. Au passage remarquer la proximité de la racine de nana et de Ana. C’est par le déchiffrement de l’étrusque et du Lydien, langues cousines, que se rétablit cette insolite sociologie. Dans la famille étrusque ou lydienne, langues cousines, il arrivait que l’une des filles, plutôt l’ainée, se consacrât à une prêtrise domestique : elle devenait nana. Célibataire et vierge, elle était la gardienne de la tradition, le célébrant des rites et la prêtresse mariant ses sœurs (ce qui lui donnait par ricochet le contrôle des maris). La nana existait à chaque niveau du corps social : famille, clan, cité, Etat. En fait le pouvoir politique était indirectement entre les mains des nanas, parce que prophétesse, elles détenaient l’oracle. Leur chasteté, combinée à une ascèse et à un régime alimentaire, leur donnait des antennes ;
elles étaient médiums. A la longue après avoir assuré une stabilité aux civilisations archaïques, l’institution entra en décadence. Faux médiums, ne captant plus le divin, médiums tricheurs car lui substituant un oracle infernal, les nanas se transformèrent en tyrans domestiques, mariant les femmes à leur gré et envoyant les hommes au travail et à la guerre. En Crète, exemple la plus connue, la « Grande Mère », c'est-à-dire la « papesse » des nanas exerça sur les masses une magie fascinatrice en tirant du culte du serpent une puissance qui se substituait à la puissance divine. Un texte étrusque, éloquent, dit que l’homme n’avait alors que deux façons d’échapper à la nana le vin et la guerre. Ainsi la nana accompagnait l’amiral ;
les figures féminine de proue perpétuaient le souvenir de ces contre-amiraux. Les oracles prescrivaient le sacrifice humain du guerrier d’élite, par haine inavouée du mâle… Comme prétexte : ces hommes étaient choisis « par les dieux » pour être les messagers du peuple auprès des dieux. Les abus du « nanarchat » expliquent la révolution romaine et la chute des rois étrusques. Evidemment les romains instaurèrent le patriarcat le plus stricte, retirant à la femme le droit de prophétiser. Les antiques nanas se prolongèrent néanmoins par les vestales, vierges aussi et gardiennes de la tradition, mais sans autorité. Il semble que l’âme inconsciente des peuples méditerranéens et océaniques soit restée traumatisée par la tyrannie des nanas décadentes. L’esclavagisme féminin, corse et sicilien (prostitution), en serait la rançon sous la forme d’une inconsciente vengeance…Aujourd’hui dans l’argot des truands, la nana est l’esclave préférée du proxénète, la reine du harem, en somme, le reflet inversé de l’ancienne nana. Tyran domestique, elle exploite au profit du proxénète ses sœurs en esclavage. Quand à la mama méditerranéenne, autre type de tyran domestique, elle est le reste d’une sociologie plus ancienne. D’ailleurs le spectre de la nana écroulée qui pèse sur l’inconscient collectif de manière très abstraite a des conséquences comme nous le verrons dans la conclusion.
Ce terme est surtout méditerranéen et il a la signification implicite de mère abusive, surtout en corse et en sicile. Le personnage serait une sorte de résurgence de la nana préhistorique. Or les abus de cette institution traumatisèrent les peuples comme les corse et les siciliens et en général, tous les montagnards autour de la méditerranée, sont la continuation directe. En fait le traumatisme de la nana s’étend de l’Asie mineure à l’Espagne ! Il se manifeste par une misogynie innée : dés le mariage, l’homme cesse d’idolâtrer sa femme, puis la néglige, la traite en esclave ou la laisse s’ennuyer à la maison, accélérant son vieillissement dans l’un et l’autre cas, donc sa déchéance, tout cela dans un réflexe de vengeance, inconscient et collectif. Le spectre de l’antique nana, latent dans ces pays, sépare inconsciemment le mari de la femme. Celle-ci se vêtira de noir comme si elle portait le deuil de son propre sexe, jadis tout puissant. Elle se mettra ensuite à exercer sur les enfants une dictature de tous les instants. La fille ainée sacrifiée, sera la bonne à tout faire de la mama et sa « tête de turc ». A la mort du tyran domestique, trop vieille pour se marier, elle se vêtira de noir à son tour et, médium de l’ombre morte de la mama, elle continuera son règne. La nana de jadis était d’ailleurs jouée par la sœur, non la mère. Cette nana vierge avait tendance à faire verser le sang des mâles, comme la Columba corse de Prosper et Mérimée qui pousse son frère à une vendetta anachronique. Quand aux fils de la mama, leur croissance psychique sera déviée : ils risqueront de grandir en enfants séniles, en faux adultes. Il serait probablement opportun ici de pousser l’analyse plus loin et de considérer certains phénomènes actuels de société, à l’ombre de ces concepts, et d’envisager une causalité, impossible avec le paradigme ambiant. Cependant pour ne pas alourdir le texte, revenons aux fils de la mama, ils se prosterneront devant elle, la dorloteront, mais s’évaderont à la première occasion, changeant même de continent (les siciliens). Mais leur déformation n’en sera que plus apparente ;
ils aimeront faire peur joueront aux durs, aux mâles intraitables, alors que sous ce plastron se terrera une peur ancestrale de la femme. Le remède à cette sociologie caricaturale est dans une archéologie psychanalytique, mais que l’on n’est même pas prêt à tenir dans les milieux les mieux informés, malgré les symptômes que tout un chacun a reconnu… Il faudrait remettre à jour l’arcane de la nana en l’extirpant de l’inconsciente mémoire de l’homme, en évitant par la même que l’homme moyen, incapable d’analyser le paradigme ambiant, ne continue à jouer de façon inconsciente avec sa psychologie et celle des autres par des phénomènes de surcompensation et de plus value à un narcissisme de galerie. Dans la mafia, société secrète de truands siciliens, un mysticisme dévié à sublimer jusqu’au délire la mama, en faisant d’elle une quasi divinité abstraite, au nom de laquelle le clan rend justice, accompagnée du sacrifice humain, celui des victimes du syndicat du crime. Je pense que s’étendre plus nuirait à la compréhension.
Il y a un phénomène impossible à analyser car trop présent dans notre échelle de goût mais qui fera ici tout de même l’objet d’une allusion. Je m’en excuse à l’avance étant moi-même un amateur… Il s’agit du culte du football ou du rugby… Ces jeux, malgré l’intérêt que nous leur portons, (et je prends des gants) sont des cultes enfantins, car nous sommes en face d’adultes en culottes courtes jouant au ballon, jeu d’enfant… Le plus grand intérêt porté au foot… calque exactement avec les régions où l’abus du féminisme, jadis, empêcha les hommes de devenir vraiment adulte ! Le pays qui a remporté le plus de coupe du monde étant, comme par hasard, l’Italie ! En Suède puis dans toute l’Europe et l’occident entier, la nana, plus pernicieuse, reparaît sous l’alibi de l’égalité des sexes (en fait il s’agit de féminisme) et de liberté des mœurs. En s’attaquant à l’homme, les femmes vengent le passé. Mais une hystérocratie latente, sans visage précis, domine toute l’Europe occidentale et les USA, où les idéologues poussent à la virilisation des femmes à la dévirilisation des hommes et à l’infantilisation des foules. Il s’y ajoute le sacrifice humain étatisé par les lois.
La société de consommation est Femme et Mère Dénaturée. C'est inhérent et structurel, par la place qui est faite au désir et à sa satisfaction, mais aussi par son traitement social . Le piège était là. Nous sommes tombés dedans!
Tout cela contribue à la résurgence d'un matriarcat décadent et d’apocalypse.
Source :
Re: Machisme, identité sexuelle et relations homme/femme
Seigneur Sven- Légat de légion
Re: Machisme, identité sexuelle et relations homme/femme
Pour les petits curieux :
Féminisme (suite...)
DreamSquare- Légat de légion
Re: Zemmour
féministe, difficile de faire pire!
Dès le début ça sombre dans la connerie d'illettré. Déjà le terme de virilité fait appel à une réalité ancienne que l'on retrouve dans la racine latine
Après, l'affrontement avec Zemmour est ridicule: typique des gens qui n'ont rien à avancer, elle monopolise la parole. c'est un peu facile, surtout quand on se retrouve face à un gars calme comme Zemmour. Ensuite, dans un deuxième temps, elle ne parle plus, comme si elle était soufflée...
Enfin, dire que le discours des hommes a toujours été le même depuis toujours, c'est faire montre d'une totale ignorance de l'Histoire sociale. Si c'était le cas, la société n'aurait pas changé, mais elle a changé: donc c'est faux! Sans même argumenter plus loin, on se rend compte par pure logique que c'est un propos débile. Bien sûr que le discours des hommes a changé, car il a dû s'adapter à l'évolution des mentalités féminines. Avant, cette adaptation était inutile, le discours n'avait rien à voir, les choses étaient évidentes. Les femmes ne sont pas plus soumises parce qu'elles respectent les canons traditionnels sociaux, c'est être manichéen que de prétendre cela;
c'est penser que toute virilité sociale entraîne forcément la domination totale de la femme. D'ailleurs, en gros, son discours est super simple : les hommes sont des "néandertaliens de salon" et les femmes des pauvres petites victimes incomprises qui ne demandent qu'un peu d'attention. Belle preuve d'intelligence et de lucidité, d'impartialité!
Ma question: comment peut-on être marié avec une telle pomme?!
Baalberith- Princeps Romanorum
Re: Féminisme (suite...)
Ma question: comment peut-on être marié avec une telle pomme?!
En étant sourd :mrgreen:
I.W.- Centurion
Re: Zemmour
Baalberith a écrit:Ma question: comment peut-on être marié avec une telle pomme?!
En étant une bonne poire. Les deux représentants la plus belle des natures mortes de notre triste époque.
DreamSquare- Légat de légion
Re: Zemmour
Baalberith a écrit:Ma question: comment peut-on être marié avec une telle pomme?!
En étant castré aussi. Quel homme normalement constitué voudrait avoir pour femme un orang-outan ?
Il n'y a qu'un homme qui ne peut plus baisé qui peut avoir ça comme femme.
En plus, elle ne serait pas à moitié arabe, elle ?
Re: Zemmour
venom a écrit:En étant castré aussi. Quel homme normalement constitué voudrait avoir pour femme un orang-outan ?
Il n'y a qu'un homme qui ne peut plus baisé qui peut avoir ça comme femme.
En plus, elle ne serait pas à moitié arabe, elle ?
Ce n'est pas très respecteux vis-à-vis des dignes orang-outangs.
Suicidium- Légat de légion
Re: Féminisme (suite...)
venom a écrit:
En plus, elle ne serait pas à moitié arabe, elle ?
Qu'est ce que ça change ? Elle est conne, et ce n'est surment pas à cause de ses origine ...
Re: Féminisme (suite...)
Re: Féminisme (suite...)
Un article bien intéressant:
Baalberith- Princeps Romanorum
Re: Zemmour
venom a écrit:Baalberith a écrit:Ma question: comment peut-on être marié avec une telle pomme?!
En étant castré aussi. Quel homme normalement constitué voudrait avoir pour femme un orang-outan ?
Il n'y a qu'un homme qui ne peut plus baisé qui peut avoir ça comme femme.
En plus, elle ne serait pas à moitié arabe, elle ?
J'adore ce pragmatisme finalement assez juste aussi :mrgreen:
Re: Féminisme (suite...)
Les femmes font-elles la guerre différemment ?
Elles n'ont pas l'attitude agressive ou douloureuse qu'on voit habituellement dans les reportages de guerre. Elles ne s'infligent pas les contraintes disciplinaires ou hiérarchiques habituelles. Elles parlent de guerre et de torture, mais aussi d'amour, de philosophie… A un moment, on les voit cueillir des marguerites qu'elles accrochent à leur fusil. J'ai envie de dire «C'est pas la même guerre !» Mais elles sont conscientes que cette différence, «c'est parce qu'on est qui on est et qu'on vient de là d'où on vient», et d'ailleurs à un moment elles disent à des hommes «On ne parle pas du même point de vue».
C'est l'histoire qui a créé cette situation, ce n'est pas parce qu'elles sont meilleures. Selon moi, à situation égale, une femme se comporte exactement comme un homme, ni mieux, ni moins bien.Les différences sont uniquement dues à la construction sociale.
C'est pour ça que l'armée US n'admet les femmes que dans des postes non-combattants. 40000 raisons pour appuyer ça, et pourtant vous savez que je suis loin d'être un anti-féministe de base...
Wrath- Légat de légion
L'absurde monde du techno-féminisme
Et les technocrates vous diront comment en finir avec le patriarcat.
Emanciper c'est assimiler : les femmes seront libérées par la technologie, parce qu'elle leur permettra de devenir indépendantes de leur contexte physique pour, en actes, devenir hommes. Ainsi, libération signifie masculinisation, psychologiquement, aussi bien que par des moyens techniques.
A travers l'innovation technologique, les femmes doivent être déchargées du fardeau de leur cadre physique, qui a déjà été transcendé par l'autre sexe.
La féministe libérale Shulamith Firestone écrit que le besoin de moyens contraceptifs et d'innovations technologiques en matière de naissance pour libérer les femmes de la « tyrannie de la reproduction », rend le fait d'être enceinte « barbare ». L'insémination in vitro, le clonage, le transfert d'embryons de substitution et l'ectogénèse (la croissance d'embryons à l'extérieur de l'utérus), sauveront la femme de « la déformation temporaire du corps de l'individu pour l'amour de l'espèce ».
Supposons que le moyen d'en finir avec l'oppression patriarcale soit de libérer des femmes« prisonnières de la biologie », selon l'expression de Judy Wajcman .Le philosophe du droit des animaux Peter Singer, ainsi que Deane Wells arguent que les féministes : « devraient souhaiter que la recherche sur le développement de l'ectogénèse complète soit aussi accélérée que possible », parce que cela serait « une contribution fondamentale à l'égalité sexuelle ». Comme le rapporte Robyn Rowland dans son article « Né d'une femme, mais pour encore combien de temps? »d'autres arguments existent en faveur de l'ectogénèse : l'environnement artificiel serait plus sûr que l'utérus d'une femme, le choix du sexe serait simplifié, les femmes pourraient être définitivement stérilisées, et bien sûr, les femmes échapperaient à l'inconfort de l'accouchement.
Les technologies de la reproduction mènent à la dégradation des fonctions physiques ;
elles imposent et rendent possibles la vision du corps en tant qu'appareil. Cette image du corps ne le réduit pas seulement à sa fonction, mais suppose aussi que les fonctions biologiques de la femme sont largement déficientes en regard des performances artificielles.
Comme le décrit Wajcman dans son livre « techno-féminisme », Maria Mies voyait le progrès technique comme la destruction des liens naturels entre les organismes, dans ce qu'ils ont de plus minuscules, pour les réorganiser mécaniquement.
Les technologies génétiques et de la reproduction sont des moyens de conquérir ce que Maria Mies appelle la dernière frontière de la domination de l'homme sur la nature. On pourrait ajouter que, dans ce contexte, « homme » se réfère plus à un serviteur de l'idéologie masculiniste qu'à un sexe en particulier, comme l'ont illustré Firestone et d'autres.
Comme le notait Léon Kass dans « la nouvelle biologie », la dépersonnalisation de la procréation est surtout un profond processus de déshumanisation.
La procréation n'est pas simplement le produit de comportements humains, mais c'est une activité humaine en soit.
De plus, de nouvelles méthodes médicales ont menées à la séparation de la mère et du foetus, qui étaient précédemment considérés comme faisant un durant la grossesse, et au traitement de l'enfant in utero comme un « patient » indépendant, avec des droits qui excèdent parfois ceux de la mère. La mère n'est plus un lien nécessaire entre le fœtus et le monde extérieur, et l'influence des spécialistes médicaux a pénétré profondément le corps féminin.
Le problème des technologies de la reproduction est celui du contrôle : le contrôle de la grossesse et de son propre corps est transféré de la femme aux experts médicaux. La création d'un être humain devient un processus de fabrication, quelque chose qui, comme le note Rowland, est bien illustré par la terminologie utilisée : les œufs sont « ramassés », et l'intérieur d'un corps de femme devient « un environnement utérin », autant de mots qui ne servent qu'à mécaniser et déshumaniser la femme.
Rowland note aussi que le terme « mère de substitution » est employé pour désigner une femme qui porte un enfant durant neuf mois, quand cela est fait en faveur d'un couple infertile.
Rowland insiste : « la mère n'est en aucun cas de substitution et c'est en fait la mère biologique de l'enfant ». En la nommant « de substitution », l'entreprise peut plus facilement contrôler et exploiter la grossesse de la femme, en lui refusant tout lien biologique avec l'enfant.
Quoiqu'il en soit, les technologies de la reproduction deviennent des instruments de lutte pour les féministes.Cela ne signifie rien de savoir que le physique des femmes est considéré comme limité et peu pratique. Le véritable problème est évidemment que tout ce qui n'est pas de l'ordre de l'idéal masculin dans la société patriarcale et considéré comme négatif., et cette société est structurée pour rendre problématique tout ce qui diffère de la norme ;
voir le sexe femelle comme un fardeau est bien sûr une construction culturelle évidente, bien qu'elle soit normalisée et réactivée au cours de l'histoire.
Robyn Rowlands met ceci en relief dans cette citation : « Kass a commenté que « la portée de ces nouveaux pouvoirs du savoir faire humain signifie que quelques hommes sont destinés à jouer les dieux, créant d'autres hommes à leurs images . Que sera la place de la femme dans cette société? Serons nous obsolètes, en permanence inutiles, disponibles? » La procréation est un souvenir douloureux de notre dépendance au physiologique, et de la dépendance des hommes aux femmes.C'est aussi, comme l'expérimentent les nombreuses femmes qui font le choix de ne pas avoir d'enfants, une composante importante de la définition culturelle du sexe.
Juste au moment où l'on nous vend la pilule avec des arguments de la liberté, malgré les sérieux risques d'effets secondaires, nous apprenons maintenant à mépriser suffisamment notre sexe pour nous féliciter de la mainmise des experts scientifiques et de la technologie sur son fonctionnement. Rowland continue : « comme Roberta Steinbacher le dit : « qui l'a inventé? Qui la fabriqué? Qui l'a autorisé? Mais qui en meurt? »
Adunakhor Z.- Immunis
Re: L'absurde monde du techno-féminisme
Baalberith- Princeps Romanorum
Re: L'absurde monde du techno-féminisme
On peut continuer longtemps.
Wrath- Légat de légion
Re: L'absurde monde du techno-féminisme
Suicidium- Légat de légion
Re: L'absurde monde du techno-féminisme
Adunakhor Z.- Immunis
Re: L'absurde monde du techno-féminisme
Necrowarrior- Légat de légion
Re: L'absurde monde du techno-féminisme
DreamSquare- Légat de légion
Re: L'absurde monde du techno-féminisme
Ktulu- PostChrétien
Re: L'absurde monde du techno-féminisme
DreamSquare a écrit:On va rajouter Necro le rabat-joie a la liste si ça continue :mrgreen:
:-D
Sinon c'est vrai qu'on à vu mieux comme discussion ...
Re: L'absurde monde du techno-féminisme
Sinon bah pour le niveau de la discussion, je voyais déjà le sujet et le débat qui allait en découler tourner en rond, donc j'ai abrégé les souffrances.
Plus sérieusement, ces questions sont extrêmement complexes et nécessitent un vrai travaille de recherche sur le sujet avant de se lancer dans des commentaires à l'emporte pièce, qu'on soit pour ou contre.
Wrath- Légat de légion
Re: L'absurde monde du techno-féminisme
L'insémination in vitro, le clonage, le transfert d'embryons de substitution et l'ectogénèse (la croissance d'embryons à l'extérieur de l'utérus), sauveront la femme de « la déformation temporaire du corps de l'individu pour l'amour de l'espèce ».
Et de se dire féministe, enfin les féministes veulent que les femmes soient libérée de leur rôle, et maintenant même au niveau de la procréation ?
Pour moi quelqu'un de féministe devrait au contraire défendre coûte que coûte le rôle de la femme dans notre société (je parle pas de place du style à la maison, ou encore à la plonge), la je dirais plutôt que c'est de l'antiféminisme, puisque les féministe tente de masculinisé le rôle de la femme non ?
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